Tetsuo : l'Iron Man qui te traumatise à vie
David Cronenberg n'est pas le seul maitre du body-horror. La preuve avec le traumatisant Tetsuo de Shin'ya Tsukamoto.
David Cronenberg n'est pas le seul maitre du body-horror. La preuve avec le traumatisant Tetsuo de Shin'ya Tsukamoto.
Pourquoi tout le monde vous embête avec Terrence Malick ? Qui croit que Richard Gere est un bon acteur ? Les réponses se trouvent dans Les Moissons du Ciel
Avant Mad Max : Fury Road et Trois mille ans à t’attendre, George Miller a signé avec Lorenzo un film médical bien loin du mélo attendu. Décryptage.
Pris dans les phares des Oscars qui le sacrent meilleur film en 2006, Collision compte sûrement autant d'admirateurs que de détracteurs. À juste titre ?
Quand Terry Gilliam adapte Las Vegas Parano, ça donne une adaptation parfaite et un film aussi fou qu'absurde sur la drogue et l'Amérique des années 70.
50 Nuances de Grey, 365 DNI ou After pourraient laisser penser que l'époque est à l'érotisme. Mais rien de tel que Le Corps et le Fouet pour se réveiller.
Certaines fratries sont plus soudées que d'autres. la preuve avec Basket Case, aka Frère de sang, bisserie incontournable des années 1980.
Chef-d’œuvre matriciel de la Shaw Brothers, La 36e Chambre de Shaolin reste l’un des référents du cinéma d’arts martiaux moderne. Décryptage.
Souvent considéré comme un des films les plus mal-aimés de son auteur, Thirst de Park Chan-wook est pourtant une expérience folle qui mérite d’être réhabilitée.
Une Palme d'Or ! Des dinosaures ! De la beauté ! de la philosophie ! Inaccessible Tree of Life ? Non, et on vous dit pourquoi.
Avec Ladykillers, Joel et Ethan Coen se heurtent au désamour du public et de la critique. Et si cette comédie avait été jugée un peu trop vite ?
Consacré par Martin Scorsese en personne, Soy Cuba comporte quelques uns des plans les plus ahurissants de l'histoire.
A en croire Hollywood, le vampire est romantique et sentimental. Heureusement, les Vampires de John Carpenter se chauffent d'un autre bois.
Vous voulez un film musical soul, mais vous avez déjà vu les Blues Brothers cent fois ? Jetez-vous sur son extraordinaire cousin irlandais, The Commitments !
Dans le lot des films un peu fous et aussi un peu oubliés de la fin des années 90, Pleasantville se hisse sans doute en tête.
En 1960, Mario Bava passe officiellement à la réalisation avec Le Masque du démon. Une première consécration ? Pas exactement.
La Double vie de Véronique est à redécouvrir, pour son influence formelle sur le cinéma international comme français, mais aussi pour sa folle étrangeté.
L'horreur cosmique n'a pas besoin des Grands Anciens, mais de petites fourmis. Pourquoi Phase IV est-il un bijou de terreur et d'anticipation ?
Les Triplettes de Belleville parle de quatre mamies têtes brûlées qui traquent la mafia française. C'est drôle, acerbe, mais surtout profondément mélancolique.
Sous-estimé et incompris, Public Enemies n'est pas qu'un grand film signé Michael Mann, c'est peut-être le testament caché de Johnny Depp.
Vous vous rappelez quand Robin Williams jouait les méchants instables et voyeurs ? Voilà la proposition de Photo Obsession.
Envie de mettre un peu le bordel en écoutant du metal ? Eat the Rich, comédie oubliée au confluent de Motörhead et des Monty Python devrait vous aider.
Quand La Reine Margot s'énerve sur grand écran, cela donne un chef-d'œuvre, qui ferait passer les traumatisants GoT et Bambi pour des blagues de Toto.
Viol, suicide, violence... Non, ce n’est pas un épisode de Capital, mais Scum, le chef-d'œuvre d’Alan Clarke sur les maisons de redressement du Royaume-Uni.
Punk et multicolore, gore et misanthrope, Street Trash fait tâche dans l'histoire de la série B crado et dans la carrière de son réalisateur, apparemment.