Critique : Rue barbare

Par César Léoni
14 décembre 2010
MAJ : 28 octobre 2018
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La moustache de docker hongrois, le surnom « Chet » qui résonne comme un coup de fouet, le poing américain : Bernard Giraudeau crée une icône du film d’action avec Rue Barbare. Dans des décors suintant la luxure et la pisse, l’ex-gendre idéal se mue en combattant de rue pour affronter l’ignoble Donnadieu.

L’affrontement entre ces deux marginaux est un vrai plaisir de spectateur Gilles Béhat, grand faiseur de séries B (l’excellent Les Longs manteaux), distille un vrai parfum d’exotisme avec ses lanceurs de couteaux, ses hangars à bagarre et ses catogans graisseux.

Pour l’anecdote, Rue Barbare restera aussi comme le premier film avec, au casting, un certain Jean-Claude Van Damme.

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