Iron Man, Captain America, Thor, Avengers, Black Widow, Les Gardiens de la Galaxie, Ant-Man… Tous les films du MCU classés du pire au meilleur, by Ecran Large. Troisième et dernière partie du dossier.
La Saga Infinite s’est terminée avec Avengers : Endgame puis Spider-Man : Far from home, mais le Marvel Cinema Universe n’a pas fini de faire tourner les rêtes. La Phase 4 a déjà été lancée sur Disney+ avec les séries WandaVision, Falcon et le Soldat de l’Hiver et Loki, et au cinéma avec le film Black Widow. Lequel a marqué les adieux de Scarlett Johansson, dans un film très raté pour nous.
Le MCU, c’est donc 24 films, 3 séries et 13 années au compteur, ainsi que des milliards au box-office. Marvel est une machine de guerre aimée ou détestée, respectée ou conspuée, étudiée ou décortiquée – mais dans tous les cas, centrale dans le paysage hollywoodien.
Pour s’y retrouver, l’équipe s’est donc réunie avec quelques litres d’alcool et diverses armes, pour arriver à un classement collectif du MCU, du pire au meilleur. Un classement évidemment propre à la rédaction, établi grâce aux votes de chacun, et qui en aucun cas ne devrait être pris autrement que comme notre avis collectif, bien à nous. Prière de ne pas partir en vrille, sortir les insultes et les fusils.
Bienvenue dans la première partie du classement, avec les 7 meilleurs films du MCU, pour Ecran Large.
Première partie du classement sur le pire de Marvel, par ici. Et les films moyens de Marvel, par là.
7 – LES GARDIENS DE LA GALAXIE
Ce qui se passe : Chris Pratt enfant n’a vraiment pas de bol. Non seulement sa mère meurt d’un cancer mais en plus il est enlevé par des extra-terrestres. Une fois devenu adulte, il s’en sort quand même pas trop mal, et se retrouve même à faire copain-copain avec une bande de malfrats de l’espace pour récupérer une pierre d’infini violette, qui devait revenir au méchant et non moins violet Thanos, mais qui finalement est quand même tombée entre les mains de Ronan, non moins méchant mais qui n’est pas violet.
Ce qui va : Les Gardiens de la Galaxie réussit étonnamment bien à décrire une bande de parias cabossés cachant de grosses fêlures derrière un humour faussement goguenard et vraiment pince-sans-rire, tout en tissant des liens crédibles entre eux. James Gunn l’a expliqué, ses Gardiens ne sont qu’une réunion de personnages se remettant durement d’expériences personnelles difficiles, au sommet desquels la rédaction placera surtout Drax, dont la femme et les enfants ont été génocidés par Thanos, et Rocket, seul et unique représentant de son espèce et donc condamné à ne jamais connaître de semblable, et encore moins l’amour. La pierre d’infini est également très bien gérée. Il s’agit de la gemme de pouvoir, soit un concentré de puissance brute, et sa première apparition donne clairement le ton : on déconne pas avec. Et puis, le climax est un modèle d’efficacité narrative.
Ce qui ne va pas : Le brushing de l’espace de Benicio Del Toro, le sauvetage de Gamora franchement cheesy, un méchant convenu malgré un design très très classe, Yondu et sa flèche complètement broken, une direction artistique mi-figue mi-raisin, et Dave Bautista qui joue un peu comme un sagouin.
Dave Bautista, Zoe Saldana et Chris Pratt
6 – IRON MAN
De quoi ça parle : Tony Stark est un playboy vendeur d’armes. Un kidnapping par des terroristes va lui faire prendre conscience qu’il peut faire le bien tout en restant un playboy imblairable, avec une grosse pile à la place du cœur. Avec l’aide de son assistante et un peu du SHIELD, il affrontera son diabolique collègue Stan. Trop fier de lui pour se taire, Stark annonce en conférence de presse qu’il est Iron Man. Nick Fury débarque dans son salon pour le calmer : il n’est pas le seul super-héros du coin, et lui annonce qu’il fait partie d’un plus grand univers (appelé MCU).
Pourquoi ça marche : Voilà un film qui avait tout pour se transformer en catastrophe totale, et qui aura finalement transformé la face du divertissement grand public tel que nous le connaissons. Marvel est alors en fâcheuse posture et espère que la production de films en interne permettra à la société de rebondir et d’offrir à son catalogue une nouvelle notoriété. Jon Favreau a beau être un honnête faiseur, ce n’est pas le style qui l’étouffe ; Robert Downey Jr. sort progressivement d’une traversée du désert impitoyable ; et la grève des scénaristes contraint l’équipe à entamer le tournage sans grand chose de solide à filmer.
« Je déclare l’apogée de Iron Man, ouverte ! »
C’est la recette de l’incident industriel, mais tout va miraculeusement s’articuler à la perfection, ou presque. Robert Downey Jr., sans doute conscient qu’il n’aura pas d’autre opportunité de ressusciter, dépoussière un héros qui n’était plus en odeur de sainteté pour en faire un monument de cool, sans jamais le trahir, il divertit grâce aux démons et traits qu’il partage avec Tony Stark. Le résultat a un charme incroyable, l’alchimie entre Gwyneth Paltrow et Downey Jr. est délicieuse et les effets spéciaux sont globalement impeccables. Et si on note un gros ventre mou dans un dernier acte beaucoup trop relâché, Iron Man réussit à décrasser la figure du super-héros et donne au grand public l’impression de voir en direct un comics s’animer.
Pourquoi ça ne marche pas : Parce que raser le crâne de Jeff Bridges ne suffit pas pour en faire un méchant digne de ce nom. L’acteur fera d’ailleurs savoir que le régime à base d’improvisation imposé par des conditions de production rocambolesque ne lui allait qu’à moitié. Toutefois, il deviendra le mètre-étalon des méchants fades et sans faveur de la recette Marvel, dont l’inanité apparaît au grand jour quand il est précipité sur le devant de la scène lors d’un troisième acte incroyablement bordélique.
5 – ANT-MAN
Ce qui se passe : Parce qu’il n’a pas confiance en le SHIELD, le docteur Hank Pym décide de garder pour lui sa formule secrète, capable de miniaturiser êtres vivants et objets. Des années plus tard, le cambrioleur Scott Lang dérobe sans le savoir une combinaison dotée de cette technologie. Il est alors enrôlé par Hank et sa fille Hope, qui veulent qu’il les aide à stopper Cross, lequel dirige Pym Tech avec de sombres ambitions. Scott alias Ant-Man affronte ainsi l’Avenger Le Faucon pour les besoins de sa mission, puis Cross alias Yellowjacket jusqu’à prendre le risque de flirter avec la dimension subatomique, où Janet Van Dyne alias la Guêpe, a été perdue des années plus tôt. Il gagne. Fin.
Ce qui va : Film mineur aux yeux de beaucoup, marqué par le départ d’un Edgar Wright très apprécié, avec un box-office moindre comparé aux autres, Ant-Man a une sale image. C’est pourtant l’un des films les plus discrètement malins et honnêtes du MCU, parenthèse amusante, décomplexée et qui assume sa légèreté. Jusque là cantonné au second plan à Hollywood, Paul Rudd y gagne enfin une place de premier ordre, où sa drôlerie et son charme ont tout l’espace pour se développer.
Et surtout Peyton Reed assemble une poignée de moments excellents, comme cet affrontement dans une malette sur Disintegration de The Cure, ou ce combat absurde au bord de la piscine. Et surtout ce climax bien plus malin que prévu qui, avec ce décalage entre la bataille sur le train miniature et ce plan large sur la table, rappelle que Marvel n’est bien qu’une histoire de jouets qu’on a délibérément choisi de prendre (un peu) au sérieux, et qui a sa place dans une chambre d’enfant puisqu’il est question de rêves de gosse.
Ce qui va pas : Le côté modeste et en marge des stars du MCU, qui en fait un film peu mémorable pour beaucoup de monde, surtout comparé aux aventures les plus spectaculaires et visuellement ébourriffantes. Celui qui n’apprécie que modérément l’humour Marvel n’a pas été ravi non plus par le numéro de Paul Rudd et ses acolytes. Et bien sûr, le joker de la version d’Edgar Wright qui aurait pu être un-super-film-c’est-sûr-non, n’aide pas.
Paul Rudd quand il a eu le rôle
4 – AVENGERS : INFINITY WAR
Ce qui se passe : Après avoir tourné autour du pot pendant 10 ans et 18 films, Thanos passe enfin à l’attaque. En quête des dernières Pierres d’infinité pour exécuter son plan, et faire disparaître la moitié de la vie dans la galaxie, le Titan fou affronte les Avengers et leurs copains de tous les côtés, sur Terre comme dans l’espace.
Prêt à tout pour arriver à ses fins, Thanos sacrifie Gamora, sa fille adoptive. Il affronte Iron Man, Doctor Strange, Spider-Man et les Gardiens sur Titan, et récupère la Pierre du temps. Ses sbires attaquent le Wakanda, défendu par Captain America, Black Widow, Black Panther, et même Thor. Mais Thanos récupère la dernière pierre sur Vision. Il tient alors ses promesses : la moitié de la vie disparaît, emportant Black Panther, Spider-Man, Groot, Drax, ou encore Doctor Strange.
Ce qui marche : Souvent attaqué sur sa formule répétitive et facile, avec un modèle repris à chaque film, le MCU saute ici dans une nouvelle direction, avec l’ambition d’offrir au public une aventure véritablement plus excitante et épique. La grande réunion programmée de tous les héros (ou presque) est donc un spectacle généreux, qui n’offre quasi aucune minute de répit sur près de 2h30 blindées de personnages, décors et affrontements.
Mais la vraie valeur d’Avengers : Infinity War s’appelle Thanos. Après des dizaines d’antagonistes oubliables et mal dégrossis, le MCU accueilli un ennemi nuancé, qui a un peu d’espace pour prendre vie. Le Titan fou est technologiquement impressionnant (avec l’interprétation de Josh Brolin), et se paye l’une des scènes les plus fortes de l’univers étendu, lors de la mort de Gamora. Un moment charnière pour lui, le film et tout le MCU, qui annonce la (sombre) couleur de la suite des événements.
Car bien sûr, le gros coup de ce troisième Avengers est de faire disparaître la moitié des héros, dans une conclusion silencieuse et tragique unique en son genre. Peu importe si Avengers : Endgame ramène les super-héros, dans la plus pure tradition des comics : ce moment restera dans les mémoires du MCU, et montre que Marvel Studios peut aussi utiliser la force incroyable de la marque pour tordre son univers.
Gamora, le coeur de Thanos (et du film)
Ce qui marche pas : De Captain America : Le soldat de l’hiver à Civil War, Joe et Anthony Russo ont prouvé les limites de leur mise en scène. Découpage approximatif de l’action, chorégraphies hachées au montage, CGI malheureux… L’harmonie n’est pas le maître-mot de leur apport au MCU. Infinity War le confirme.
Le film a beau s’amuser avec les couleurs, de Titan à Nidavellir en passant par Vormir, il y a beaucoup d’images peu reluisantes (Mark Ruffalo dans le Hulkbuster, les discussions sur Titan). Et dès qu’il s’agit de mettre en scène l’action, comme la baston contre Proxima Midnight au Wakanda, le manque de finesse est spectaculaire. Vu l’ampleur du film, c’est bien dommage de ne pas avoir du spectacle d’un plus haut niveau.
Et si le manège fonctionne très bien et peut aisément emporter, la dynamique un peu trop limpide (Thanos cherche une Pierre, tape, la récupère, et rebelote) a pu être perçue comme trop paresseuse.
Plan iconique (l’un des rares du MCU)
3 – CAPTAIN AMERICA : THE FIRST AVENGER
De quoi ça cause : Steve Rogers est une crevette, mais une crevette qui veut faire la guerre pour arrêter les Nazis. Le gouvernement américain fait de lui un super-soldat super-musclé. La mascotte de la propagande américaine part à la recherche de son meilleur ami Buck Barnes, censé être mort, et découvre le méchant Red Skull, un Nazi très méchant de HYDRA. Avec ses potes et un super bouclé en vibranium, Captain America poursuit les méchants, et Barnes est encore laissé pour mort. Le héros finit par se crasher volontairement en Arctique pour sauver des innocents. Mais il se réveille 70 ans plus tard, prêt à rejoindre les Avengers.
Pourquoi ça marche : La première aventure du Cap est probablement une des productions Disney les plus mal-aimées. Un désamour surprenant, tant le film révèle de richesse et de sens profond du divertissement. Il est réalisé par Joe Johnston, vieux briscard d’Hollywood, passé dans les coulisses de Star Wars, aux commandes des Aventures de Rocketeer, Jumanji, Jurassic Park III, avant de sauver Wolfman d’une production cauchemardesque.
Parfaitement à l’aise dans un divertissement rétro-futuriste au parfum entêtant d’Indiana Jones, Johnston utilise tous les trucs qu’il a appris chez Spielberg. D’où une très grande importance accordée à ses personnages, dont il motive toujours les actions. Par conséquent, Steve Rogers devient un modèle d’écriture, au sein d’une écurie Marvel qui croule sous les psychologies tièdes et interchangeables. Il est aussi le premier personnage dont les pouvoirs ne dépendent pas tant de capacités surhumaines, que de leur combinaison avec la personnalité qui en bénéficie (voir la formidable poursuite dans le Bronx, juste après l’avènement du Cap).
Quant à l’action, elle contient une quantité ahurissante d’images iconiques, de trouvailles, et s’achève sur un climax mutant, qui passe d’un combat au sol, à la prise d’une base, jusqu’à un dogfight surréaliste dans les airs, avant de s’abîmer à l’occasion d’un des épilogues les plus touchants vus chez Marvel. À la revoyure, difficile de faire le difficile devant une production aussi divertissante et soignée.
Le héros dans toute sa splendeur
Pourquoi ça ne marche pas : Parce que personne n’avait envie d’un film situé lors de la Seconde Guerre mondiale à l’époque, et que les gens ont la fâcheuse habitude de se rendre au cinéma avec du caca dans les yeux. Plus sérieusement, si le film effectue un pas de côté en interrogeant justement la dimension candide, pro-américaine, voire propagandiste du personnage, il est encore perçu par une partie du public comme un bon élève manquant de charisme.
Enfin, si le film ne manque pas de séquence spectaculaire (et passe carrément la surmultipliée dans sa deuxième partie), il prend son temps pour bâtir progressivement la caractérisation et la personnalité de son héros, selon un rythme classique, très old school, aux antipodes du fun électrique d’un Iron Man, alors le mètre étalon de la maison Marvel.
2 – LES GARDIENS DE LA GALAXIE VOL. 2
Ce qui se passe : Après s’être mis à dos les Souverains et leur prêtresse Ayesha, mais récupéré Nebula, Starlord découvre que son père est Ego, un dieu qui a le visage de Kurt Russell. Pendant que Groot, Rocket et Nebula affrontent Yondu et sa bande, envoyés par Ayesha, Quill, Drax et Gamora visitent la planète d’Ego, qui est en fait Ego lui-même.
Il demande à son fils de l’aider à se répandre dans l’univers. Mais Mantis, son assistante alien, sait que tout ceci cache la vérité : Ego est un méchant dieu, qui a tué plein de ses enfants, et implanté la tumeur dans le cerveau de la mère de Quill. Les Gardiens réunis posent une bombe sur le noyau/cerveau d’Ego, et Yondu, le vrai bon père de Quill, se sacrifie pour le sauver. Nebula annonce qu’elle va aller tuer son père Thanos, et Ayesha, elle, présente Adam, son arme pour détruire les Gardiens.
Michael Rooker, central dans l’histoire
Ce qui va : On serait tenté de dire tout, tant Les Gardiens de la Galaxie Vol. 2 est une réussite à plusieurs égards. Film centré sur ses personnages et leur évolution, sans pour autant oublier une bonne dose d’action, il permet à James Gunn de s’affranchir des lois du MCU en nous offrant un récit fichtrement émouvant sur la transmission, le rapport au père, le passage à l’âge adulte... Tout en se moquant gentiment des codes du genre et des attentes de son public, il parvient à en devenir un bel et pur objet de cinéma, probablement le premier du MCU tout entier.
Ce qui va pas : Il faut quand même être honnête, Les Gardiens 2 a quand même quelques problèmes. Un rythme mal géré par instants qui occasionne un ventre mou en milieu d’intrigue, une mise en place des enjeux assez laborieuse dans le premier acte, une morale family-friendly typique de Disney un peu trop tartinée par endroits, et un humour qui pourra apparaitre chez certains comme un peu poussif. Sans parler de quelques personnages importants relégués en toile de fond. Mais bon, ça reste quand même sacrément génial hein.
1 – AVENGERS
Ce qui se passe : Loki vole le Tesseract au SHIELD, et transforme Hawkeye et Selvig en zombies-figurants. Fury lance alors l’initiative Avengers : il réunit Tony Stark, Steve Rogers, Natasha Romanoff, Bruce Banner, et Thor qui s’incruste. Ils capturent Loki, la petite bande se dispute pour tout et rien, mais la mort de Coulson (sauf que non, il reviendra dans sa série) les réunit pour de vrai.
Les Avengers affrontent donc des tas de machins horribles à New York, car l’union fait leur force. Thor embarque le Tesseract (qui est en fait la Pierre de l’espace) chez lui. Et Thanos, dans la scène post-générique, fait sa première grande apparition de grand vilain qui tire les ficelles.
Ce qui va : Le créateur de Buffy contre les vampires a un talent évident pour créer une dynamique de groupe, écrire des personnages réunis dans une bande improbable, et manier l’humour et l’auto-dérision. Les Avengers sont comme une évidence pour le scénariste derrière Firefly, qui parvient avec une aisance réelle à présenter la bande, mettre en scène leurs conflits, et trouver ce souffle épique lorsque les super-héros affrontent ensemble le chaos.
C’est un beau numéro d’équilibriste, où chacun (ou presque) aura son moment de gloire, sa place, son identité, au sein d’une grande aventure équilibrée et harmonieuse. Que le film soit une première étape majeure du MCU, lui confère bien évidemment quelque chose de spécial et précieux. Qu’il offre un long et généreux climax de destruction, combats, explosions et collaborations, a certainement été un facteur majeur dans l’enthousiasme général.
Ce qui va pas : Il manque à Avengers un emballage de cinéma noble. La faute à une photographie et une direction artistique un peu plates, et un découpage plus fonctionnel qu’inspiré. Joss Whedon est plus doué pour écrire (la mise en situation qui présente Black Widow, et retourne avec malice les codes) que pour mettre en scène l’action, même si quelques moments restent mémorables (le fameux traveling autour des Avengers réunis dans Manhatthan).
Si bien qu’à la revoyure, il y a le sentiment d’un blockbuster très bien conçu et rythmé, mais finalement un peu avare en action et en spectacle au-delà du climax généreux. Loki étant un personnage qui divise beaucoup, entre ceux qui y voient le meilleur méchant du MCU et le plus ridicule, force est de constater que ce premier Avengers est moins un film articulé autour d’un ennemi, qu’un film sur la réunion des héros.
Intéressant, mais vous n’êtes pas tjrs très objectif..
Après l’appréciation est différente pour chacun.
Je trouve quand même le top ten très injuste.
Perso ;
Avengers, les gardiens 1 et infinity war sont clairement parmis les meilleurs du mcu.
Thanos.. Thanos Thanos Rien que lui mérite sa place sur le podium..
Enfin.. S’il était possible de supprimer endgame…
Je vais vous faciliter la tâche : ils sont tous nuls à chier
Les gardiens de la galaxie 2 c’est un des plus mauvais film… jaime bien Ant Man mais il ne devrait pas être présent dans le top 10…
Archi pas d’accord
On ne peu pas dire qu’un film est nul, mais plutôt pas au goût de la personne, je n’ai pas de classement car je suis un des plus grand fans du MCU.
On va plutôt faire un TOP 7, car ce sont les seuls que j’estime intéressants :
7 Guardians of the Galaxy Vol.2
6 Ant-man
5 Thor Ragnarok
4 Captain America First Avenger
3 Doctor Strange
2 Infinity Wars
1 Guardians of the Galaxy vol.1
De tout les classement que j’ai vue dans ma vie j’en ai jamais vu un aussi faux que celui ci
« LES GARDIENS DE LA GALAXIE VOL. 2 » Est pour moi l’un des pires marvel, surfant sur ce qui a été fait dans le premier opus. J’aurais mis le vol 1 en premier
Très bon boulot pour l’humour dans vos synopsis, le petit bémol c’est que les lecteurs risqueront de passer leur temps à rigoler au lieu de lire l’article XD.
Je suis un peu vieux pour le MCU, mais je vais quand même dresser mon top 10 que j’avais imaginé, car j’ai été aussi un petit fan de marvel avant :
10.Iron man
9.Endgame
8.First Avenger
7.Ragnarok
6.Age of Ultron
5.Gardiens 1
4.Winter Soldier
3.Infinity War
2.Civil War
1.Avengers
Mes pires films sont Captain marvel,Gardiens 2(too much) et les spider-man (les scénarios me fait penser au flash de la josstice league et tellement déçu de l’intégration poussif de mon préféré de marvel dans cet univers ciné)
J’aurais tendance à mieux noter les plus vieux films, l’attrait de la nouveauté. Après c’est l’overdose de superhéros, qui provoque un relatif désintérêt.
Je ne vois comment on peut mettre Les Gardiens de la Galaxie 2 en 2ème position, c’est un des pires films du MCU pour moi.