Predator, Predator 2, Predators, The Predator : avec la sortie du prequel Prey, retour sur la saga.
Notre critique de Prey, le prequel de Predator.
Les trois lasers, le casque, les dreads et la gueule de porte-bonheur… Instantanément reconnaissable, le Predator est désormais l’un des monstres les plus iconiques de la culture populaire aux côtés du xénomorphe. Si bien que lorsque Disney a récupéré la licence, Mickey n’a pas hésité longtemps avant de la relancer avec un cinquième long-métrage, intitulé Prey et réalisé par Dan « 10 Cloverfield Lane » Trachtenberg.
Il n’en fallait pas plus pour convaincre la rédaction de revisiter l’intégralité d’une saga inégale, mais passionnante, sous la forme d’un classement. Un classement court, vu qu’elle ne compte que 4 opus (par respect pour nos lecteurs, on ne compte pas les Alien vs Predator), mais qui fait comme toujours office de prétexte pour revenir sur les particularités de chaque film.
5. PREDATORS
Sortie : 2010 – Durée : 1h47
Il se passe quoi dans Predators ? Des méchants Predators musclés kidnappent huit valeureuses personnes sur Terre, et les jettent sur une planète étrangère (mais qui ressemble juste à la jungle). Les humains vont devoir 1) affronter un précédent survivant devenu légèrement timbré 2) affronter un traître psychopathe parmi eux 3) s’allier à un Predator première génération que les nouveaux Predators n’aiment pas 4) rester sur cette foutue planète à la fin, même après avoir vaincu les méchants Predators
Pourquoi c’est le pire Predator ? Parce que c’est celui qui se rapproche le plus d’un film de Paul W.S. Anderson. Normal : tout est parti d’une idée de Robert Rodriguez, engagé par la Fox dans les années 90 pour écrire Predator 3. Rejeté, car trop cher, son scénario a finalement été recyclé quinze ans plus tard, avec Rodriguez en producteur (via sa boîte Troublemaker Studios). Repéré avec les sympas-sans-plus Motel et Blindés, Nimród Antal a été choisi comme réalisateur, sur un scénario de Michael Finch et Alex Litvak (crédité sur Les Trois Mousquetaires de Paul W.S. Anderson : il n’y a pas de hasard, que le destin).
Avec un budget de 40 millions, Adrien Brody très musclé, et une armée de seconds rôles (Alice Braga, Walton Goggins, Laurence Fishburne, Topher Grace, Danny Trejo, Mahershala Ali), Predators a des airs de Cluedo cosmico-débilos digne d’une blague. Que se passe-t-il quand des soldats, un Russe, un Mexicain, un prisonnier, un yakuza et un schizophrène sont lâchés (littéralement) dans une jungle, avec des Predators ? Tout et n’importe quoi : un combat au sabre contre un Predator, des gros chiens aliens, un Predator allié, ou encore un twist très utile (non) avec le médecin-à-lunettes qui se révèle être un tueur expert en plantes toxiques.
C’est d’autant plus tristounet que Predators se plante dans son approche mi-hommage mi-remake, particulièrement avec le personnage de Hanzo qui reste en arrière pour combattre, comme un sous-Billy dans Predator. Sauf que c’est un yakuza pieds nus avec un sabre, ce qui ressemble presque à un sketch.
Pourquoi c’est cool quand même : Il n’y a à peu près rien de très mémorable dans Predators, qui s’est rêvé en Aliens avec son -s ajouté au titre. Mais difficile de véritablement résister à ce plaisir régressif très assumé, qui revendique ses airs de grosse série B friquée. Comme il y a beaucoup de personnages, il y a beaucoup de morts, et ça, c’est toujours bien. Merci donc au russe, au prisonnier et au mexicain pour leurs derniers souffles très distrayants (mention spéciale à la scène où Cuchillo « crie » à l’aide).
Enfin, s’il y a bien une idée amusante dans Predators, c’est ce twist sur le décor, puisque toute la bande découvre rapidement qu’ils sont sur une autre planète. Une porte cosmique bête et méchante qui embrasse la dimension SF de la saga, ce qu’aucun autre épisode n’a osé faire avant ou après – pas même les délires Z Alien vs Predator.
4. THE PREDATOR
Sortie : 2018 – Durée : 1h47
Un duo sous-exploité, mais charismatique en diable
Il se passe quoi dans The Predator ? Un soldat d’élite rencontre par hasard un Predator, lui survit, avant d’être mis aux arrêts par ses supérieurs, désireux d’étouffer l’affaire et d’étudier le spécimen extra-terrestre. La situation dégénère totalement quand d’autres belligérants cosmiques débarquent dans la petite ville où le soldat a dissimulé auprès de son fils les effets du premier Predator rencontré. Tout cela serait presque simple, si cette ancienne civilisation n’avait pas décidé de se modifier génétiquement pour corser encore la chose.
Pourquoi ce n’est pas la catastrophe annoncée partout ? Il y a bien des raisons de se soupirer de malaise devant les échecs de l’entreprise, mais au moins autant de ne pas nier son plaisir. En dépit des mutilations successives subies par le long-métrage de Shane Black, ce dernier est parvenu à sauver plusieurs motifs essentiels de son cinéma, particulièrement savoureux. Tout d’abord, on notera le soin particulier apporté aux dialogues. Rares sont les auteurs capables d’inventer des échanges à ce point dynamiques, voire délirants, où les enjeux, conflits et grains de folie des protagonistes s’expriment avec autant de liberté, mais aussi de lisibilité.
Un massacre sur le banc de montage
Non seulement s’en dégage un humour remarquable, mais il n’est pas rare, au détour d’une punchline savoureuse, que pointe la mélancolie qui hante Black depuis ses débuts de scénariste. Et pour cause, la majorité de ses personnages sont des vétérans, traumatisés par divers conflits, quand ils ne sont pas purement irrécupérables. Non seulement cette figure de l’antihéros brisé est depuis belle lurette un des sujets qui intéresse l’auteur, mais elle fait parfaitement écho au film originel de McTiernan. En effet, quoi de plus logique, après avoir orchestré la défaite impitoyable de surhommes au coeur de la jungle, que de retrouver leurs équivalents symboliques, martyrisés et écrasés par ce même système ?
Enfin, ces combattants méprisés par leur propre état-major fait curieusement écho au film lui-même, tentative en partie avortée de proposer un blockbuster différent du tout-venant hollywoodien, mais charcuté de bout en bout. Au-delà de l’allégorie, ce dispositif permet également à Black de jouer au pompier pyromane et de tout cramer, jouant avec les attentes de la mythologie pour mieux la détourner, et l’abimer, avec un sourire de sale gosse, qui sied idéalement au programme ravageur du Predator.
Pourquoi ça reste une plaie ouverte ? Tout simplement parce que le résultat initial eut le malheur de déplaire grandement à la Fox, insensible au goût pour la subversion des codes de son réalisateur, détestant carrément un climax dans lequel des Predators renégats venaient directement prêter main-forte à l’armée américaine. D’où le retournage intégral d’un énorme segment du film, en quatrième vitesse, pour tenter de recoller les morceaux avec la franchise, tout en proposant un peu plus de violence supposément « effrayante », au cours d’un climax réimaginé pour se dérouler de nuit.
Non seulement les connexions avec ce greffon conséquent s’avèrent tragiquement mécaniques et artificielles, donnant l’impression que le récit a été monté n’importe comment, mais la postproduction s’en est retrouvée elle aussi chahutée. Avec des résultats… embarrassants. Le bestiaire numérique est rarement crédible, quand il n’est pas abominablement laid, les incrustations sont souvent hideuses, et lors de la fusillade nocturne qui précède le climax, plusieurs séquences sont tout bonnement incompréhensibles, tant le montage et les effets rivalisent de nullité. Un comble pour une licence qui s’est révélée avec une certaine idée du très grand spectacle, ordonné via un découpage, un montage et une maîtrise des effets absolument admirable.
3. PRey
Sortie : 2022 sur Disney+ – Durée : 1h39
Il se passe quoi dans Prey ? 1717, Amérique, territoire des Comanches. La jeune Naru rêve de devenir une guerrière comme tous les hommes de sa tribu, mais personne ne croit en elle. La visite d’un petit Predator va changer la donne, puisque le bestiau massacre tout le monde.
Pourquoi c’est une bonne suite-Preyquel : Depuis le premier film, la saga Predator a tourné au grand délire dans chaque suite. Tout le monde s’est revendiqué du film de John McTiernan, mais au fond, personne n’en a assumé la formule épurée. Même Predators, a priori très proche, a ajouté une montagne de personnages, un décor spatial et plusieurs créatures. Prey se place donc sans difficulté comme le vrai descendant direct du film culte, avec une équation réduite à un personnage, un Predator, et une forêt.
C’est la grande force de ce prequel réalisé par Dan Trachtenberg (10 Cloverfield Lane), et écrit par Patrick Aison (passé par Wayward Pines et Legion, qui a révélé Amber Midthunder). Prey n’est pas là pour révolutionner ou réécrire la mythologie, et encore moins pour ouvrir un grand univers, comme l’avaient tenté toutes les suites jusque là. Il est là pour exploiter la formule, en changeant simplement un ingrédient essentiel : la période.
Avec ce flashback dans la mythologie (qui renvoie avec malice à Predator 2, puisque Harrigan récupérait un flingue datant de 1715 à la fin), Prey retourne bel et bien aux racines. Predator montrait que la puissance de l’homme moderne (gros flingues, gros bras, gros egos) n’était qu’une illusion, et Schwarzy devait se désaper, déposer les armes et user d’ingéniosité pour pouvoir remporter la bataille. Prey va encore plus loin, en confrontant une jeune guerrière légèrement sous-équipée à un Yautja. L’idée est simple, logique, efficace, et creuse intelligemment l’idée originelle de Predator.
En revenant au (petit) spectacle attendu et mérité, Prey évite donc beaucoup de pièges de la franchise. Et grâce à la photo de Jeff Cutter (déjà sur 10 Cloverfield Lane) et le savoir-faire de Dan Trachtenberg, le cauchemar multiplie les visions saisissantes, en grande partie grâce à une météo qui modifie l’ambiance pour la redynamiser.
Cerise sur le gâteau : le Predator chez les Comanches ajoute une intéressante corde aux thématiques de la saga, faisant de l’alien un colonisateur sur une terre où une guerre déchire les Hommes.
Pourquoi ça reste une petite suite : Prey avait tout pour être un pur survival type Woman vs Wild, et le film touche du bout des doigts cette idée dans plusieurs scènes. Mais le scénario s’y refuse, et freine constamment l’action avec de nouveaux personnages, une nouvelle rencontre, et une nouvelle raison de s’arrêter et parler. C’est particulièrement évident dans la scène du champ, où la guerre semble enfin commencer… avant d’être repoussée avec l’arrivée des colons.
Le film laisse donc un petit arrière-goût de rendez-vous manqué, et un peu trop tiède pour véritablement s’imposer dans la saga. L’héroïne, campée par la solide Amber Mithunder, est trimballée de scène en scène sans avoir suffisamment d’espace pour exister, et son duel avec le Predator est expédié dans un climax beaucoup trop rapide. A jouer le jeu de la modestie, Prey se prend finalement les pieds dans le tapis pour rester dans les poids plumes.
2. Predator 2
Sortie : 1991 – Durée : 1h48
Il se passe quoi dans Predator 2 ? En 1997, Los Angeles ressemble à une zone de guerre. L’équivalant d’une station balnéaire pour notre brave Predator, qui, après avoir étripé, dépiauté et pendu par les pieds la moitié des criminels de la région, s’attaque au flic qui les pourchassait. Celui-ci va le repérer, le traquer et – au nez et à la barbe de ces salauds de fédéraux – lui faire la peau dans son propre vaisseau. Un exploit qui va lui attirer le respect des autres extra-terrestres et un antique flingue. Le braconnage d’aliens paie mal.
Pourquoi c’est une très bonne série B : La singularité de Predator 2 provient de sa genèse. Conséquence logique du succès du premier film, les studios démarchent les scénaristes originaux pour une suite. Parmi leurs idées, ils retiennent le concept de la jungle urbaine. Privés de la mise en scène de John McTiernan, ils engagent un Stephen Hopkins à peine sorti du sympathique Freddy 5 : l’enfant du cauchemar.
Pris de court par le départ d’Arnold Schwarzenegger, aux exigences salariales trop élevées, ils recrutent trois vétérans de L’Arme fatale : Danny Glover, Steve Kahan et Gary Busey. Heureusement, ils ne se rabattent pas, comme envisagé, sur Patrick Swayze et Steven Seagal.
Les flics américains toutes les 30 minutes
Un mal pour un bien. Dans l’impossibilité de bêtement reconduire les enjeux du classique de McTiernan, le film est forcé de tout reprendre de zéro et de transposer assez simplement l’action dans la jungle urbaine. Une excellente idée, qui paie dès les premières minutes et cette séquence de guerre trahissant déjà le modèle visé par Hopkins, et les Thomas : celui de la grosse série B bien bourrin, remplie à ras bord d’éclats de violence inouïe, même s’il a dû en couper quelques-uns pour ne pas écoper d’un classement NC-17. On fantasme encore le montage original…
Mal-aimé, il excelle pourtant à secouer une Los Angeles 100 % fictionnelle, peuplée de gangs barbares, pour ne pas dire monstrueux, de flics intègres qui aimeraient bien pouvoir massacrer tout ce qui bouge sans que leur hiérarchie s’en mêle et d’extra-terrestres indestructibles. Un monde sans IGPN et sans subtilité, où sévissent un Danny Glover en surrégime et un Bill Paxton en pleine période « clown sous amphet' ». Predator 2 mitraille jusqu’à ses fondations, au terme d’une dernière demi-heure ultra-généreuse, qui culmine avec un mano à mano éprouvant, un agrandissement amusant de la mythologie Predator et une référence amusante à Alien. La fusion des sagas aurait dû s’arrêter là.
Sympa le nouvel album de Slipknot
Pourquoi c’est quand même un peu décevant ? Dommage néanmoins qu’Hopkins se contente d’émuler l’appétit visuel de McTiernan. S’il recopie plutôt bien dans les grandes lignes son style, et notamment son sens acéré du découpage, il s’autorise rarement un bref recul sur l’action. On ne peut s’empêcher de se demander ce que le papa de Die Hard aurait fait de la scène du métro ou de l’affrontement en haut de l’immeuble.
Évidemment, la densité thématique du premier est éludée. Le discours un brin ironique sur l’idéal du conflit américain et ses militaires conscients d’être de la chair à canon laisse place à une vision bien plus bronsonienne, grosse série B oblige. Rien de trop handicapant à l’horizon : si Predator 2 ne tutoie jamais les cimes du divertissement, il n’est jamais embarrassant. Des qualités inhérentes à une bonne grosse série B qui se respecte en somme.
1. PREDATOR
Sortie 1987 – Durée 1h47
Faire d’Arnold Schwarzenegger une victime, c’est possible
Il se passe quoi dans Predator ? En 1987, un vilain extra-terrestre débarque en Amérique centrale pour se faire un safari et comme il aime le challenge, il prend Arnold Schwarzenegger – alias Dutch – et sa bande de gros bras armés pour gibier. Les soldats des forces spéciales sont donc traqués dans la jungle guatémaltèque et éliminés un par un, jusqu’à ce que Schwarzy et la créature règlent leur compte au corps à corps. Après s’être méchamment fait cogner dessus, le soldat parvient à déclencher un piège qui blesse mortellement le chasseur, qui déclenche par ricochet un dispositif d’autodestruction. Schwarzy est finalement sauvé et rapatrié.
Pourquoi c’est le meilleur de la saga ? Parce que c’est ce film originel qui a fait entrer le Yautja – qu’on doit une fois de plus à Stan Winston – dans le bestiaire de la culture populaire, quelques rangs en dessous du Xenomorphe ou d’E.T. C’est aussi celui qui a servi de tremplin au réalisateur John McTiernan après un premier long-métrage plus discret et confirmé le statut de superstar d’Arnold Schwarzenegger après Terminator.
Mais surtout parce que Predator parle autant de notre rapport à la guerre que de science-fiction, si ce n’est même plus. Au-delà d’une seconde lecture antimilitariste claire, le film prend le parti de fendre la carapace épaisse du culturiste pour déconstruire le héros reaganien qu’il incarnait par essence – encore plus après Commando et Le Contrat. Au départ, le scénario dresse donc un portrait plutôt convenu de Dutch, une tête brûlée baraquée qui avance sans peur, avec sa bite et son couteau (et ses gros flingues), dans ce qui s’apparente à une bête série B d’action testostéronée tout aussi convenue et bourrine – l’assaut spectaculaire et démesuré sur le camp de guérillos renforçant la supercherie.
Mais à mesure que la menace invisible se rapproche, le film inverse le rapport de force. La peur et la violence changent de camp jusqu’à ce que la jungle où ils se pensaient maîtres devienne une cage qu’ils partagent avec leur prédateur, ce qu’explicite la mise en scène en laissant littéralement la nature au premier plan jusqu’à créer un sentiment de claustrophobie mêlé d’abandon. Même si Schwarzenegger finit par vaincre le chasseur et s’extraire de son terrain de jeu – en utilisant sa cervelle plus que ses muscles -, il ne réaffirme pas son aura de surhomme pour autant. Ce dernier ne s’est pas complètement libéré de son statut de proie apeurée et repart sans gloire ni triomphe, mais seulement avec un sérieux SPT, l’extra-terrestre étant une personnification du traumatisme implacable commun à chaque guerre.
Pourquoi on peut quand même chipoter ? Le fait que les soldats durs à cuir ne servent symboliquement que de chair à canon les empêche par principe de gagner en caractérisation et nuance, le film n’essayant jamais de les affranchir de la caricature qu’ils sont censés représenter. Il est tout de même dommage que la profondeur du sous-texte et l’intelligence de la mise en scène ne se retrouvent pas dans l’écriture du scénario, découpé de façon assez mécanique, et dans les dialogues aussi décharnés et écervelés que les victimes du Predator.
The Predator (2018) loin derrière, une catastrophe
@Spywolf68
Idem niveau classement
Après visionnage de Prey hier , voici mon classement perso…
1)Predator
2)Prey (enfin une suite qui reprend l’idée du premier)
3)Predators
4)Predator 2
5) The Predator
Bon ce n’est que mon avis…
Action , images , musique , PREY est largement à un haut niveau !
Même si Predator 1 reste le meilleur , j’ai largement apprécié l’ambiance et le parcours combat-initiatique de Prey ! Un vrai régal ! Et une action « female warrior pas déplaisante du tout car s’il n’y a pas les muscles de Conan (Dutch) il y a le cerveau , la bravoure et l’habilité .
Engagement total dans ce combat .
Un super film de bravoure .
A voir ! Pour tous les fans de PREDATOR (et d’ALIEN car il y a le même engagement que Ripley)
Comme beaucoup d’entre nous, le premier film reste incontournable.
J’étais sceptique pour Prey, mais au final je l’ai apprécié même si, pour moi, ce film aurait pu aller un peu plus loin dans certaines situations. Donc je donnerai une note positive à ce Prey que je pourrais regarder une seconde fois sans problème.
Même le fanfilm Predator Dark Age est mieux que The Predator c’est dire^^
C’est tout de même dommage de n’avoir jamais réellement trouvé un filon à exploiter avec cette franchise, Il y aurait tellement de possibilités scénaristiques à réaliser, comme placer le récit à différentes époques et dans différentes civilisations, ce serait le plus judicieux à faire je pense. C’est pour ça que Prey va plaire!
The predator à éliminer…tout tourbe autour d’une famille et d’un gosse qui craque un code alien pour que les humains récupèrent une technologie qui les aidera à mieux combattre. Pardon???? Non au secours.
J’envisage de regarder Prey car je pense que le pistolet que le Predator donne à D.Glover à la fin du 2 vient de cette époque et qu’il y a un clin d’œil.
Pour moi cette franchise c’est du divertissement. Il y a des commentaires voir même l article qui charge en disant c’est nul. Non il faut dire j aime pas car ça ne correspond pas à ma vision et mes attentes.
Sinon les gars je vous donne un conseil ne regardez plus cette franchise ou sinon allé voir les patrons de productions et pour leur donner votre scénario.
Predator en gros c’est un alien qui tue des humains et autres bestioles qui eux tuent d autres humains ou bestioles pour le plaisir.
Et la dedans prédator nous debarsse des fumiers qui pourrissent l univer.
Donc le truc marrant c’est de voir comment les tueurs se font tuer.
@steelmax
@Rakis
@Kantmo
@Gégé le vrai
@Magnitude
@moijedi
Je voudrai vous parler de l’annulation de ka série Raised by wolves l’article HBOMAX si vous l’ignoré cette série diffusée sur Canal + la saison 2 sera la dernière. Allez voir sur YouTube Warner TV France les vidéos recap de la saison 1 et le laking off de la saison 2.
Au US une mobilisation énorme pour sauver cette série je suis Marc sue Ecran large il y un article sur la saison 2 de Raised by wolves. Une pétition sur Twitter pour mettre la pression sur HBOMAX pour renouveler pour une saison 3 Raised by wolves produit par Ridley Scott et créé par Aaron Guzikowski.
Le # Twitter RenewRaisedByWolves
D’accord avec beaucoup d’entre vous !
1 Predator bien sûr intouchable
2 Predator 2, nouveau decor, Danny Glover des grand jours et une bonne dose de gore et d’humour.
3 Predators, nouvelle planète, hommage au 1er, divertissant
4 The Predator, mis à part le tout début prometteur, une véritable déception !