Même si le film divise, les rédacteurs d’Ecran Large sont d’accord sur un point : Avatar 2 : La Voie de l’eau est encore meilleur qu’Avatar.
Il fallait le voir pour le croire, à tel point qu’on doutait encore de son existence en enfilant nos lunettes 3D, mais Avatar 2 : La Voie de l’eau est bel est bien sorti au cinéma après plus 13 ans d’attente, de faux départs, de fantasmes et d’engueulades. Le premier volet de la saga de James Cameron a divisé le public et alimenté les débats cinéphiles en poussant la mauvaise foi dans les deux camps. Sans surprise, la suite ne fera certainement pas l’unanimité non plus (et heureusement).
Du côté d’Ecran Large, pour changer, les rédacteurs ne sont pas d’accord sur tout, n’ont pas aimé le film pour les mêmes raisons et ne lui font pas les mêmes reproches, mais il y a bien un point qui met tout le monde d’accord : Avatar 2 est bien meilleur qu’Avatar. Attention spoilers !
Dans ta gueule l’ECOLONIALISME
C’est le principal reproche fait au premier opus : sa critique frontale du colonialisme et de ses conséquences écologiques, deux facettes de la même pièce capitalistique. L’urgence climatique imposait de laisser tomber les pincettes, disaient les uns. C’est quand même trop grossier pour être intéressant, assuraient les autres. Et Avatar : la Voie de l’eau pourrait bien les réconcilier, puisque Cameron y précise sa vision, fort des acquis de son précédent film, et toujours bien sûr dans le carcan d’un méga-blockbuster destiné à conquérir le monde.
Grâce à Avatar premier du nom et en amenuisant l’importance de Jake Sully au profit de sa petite famille, il se permet d’adopter d’emblée le point de vue des indigènes plutôt que celui des humains, celui des colonisés plutôt que celui des colonisateurs, ce que peu de divertissements américains ont eu l’occasion d’expérimenter, y compris – au hasard – Pocahontas et Danse avec les loups.
À travers ce changement de paradigme absolument inédit, puisqu’au milieu de cet univers intégralement virtuel, les Hommes deviennent visuellement les intrus, il bat en brèche les traditionnelles excuses occidentales (la pacification de tribus violentes entre elles, la collecte de ressources inutilisées). Le cinéaste et son spectateur n’ont d’autre choix d’embrasser le mode de vie Na’vi, lui aussi confronté à des discriminations et des conflits, toutefois sans commune mesure avec l’agression colonialiste menée par Quaritch.
L’invasion de Pandora est totale : le scénario lie toutes les problématiques environnementales entre elles et s’attarde cette fois plus précisément sur le spécisme, décrit comme une conséquence directe du mode de pensée colonisateur. Insolite sur le papier, l’idée de pousser la volonté d’empathie jusqu’à dévoiler succinctement la subjectivité d’un cétacé extraterrestre pourrait paraître farfelue. Mais cela permet à Cameron, à qui cette cause tient particulièrement à cœur, d’afficher un militantisme justifié : face à une menace qui décline, parfois même inconsciemment, ses méthodes à la moindre de ses interactions avec son environnement, il faut renier le statu quo cher à nombre de blockbusters contemporains, et faire front.
moins manichéen, plus politique
Le gros problème d’Avatar premier du nom était incontestablement son manichéisme entre les gentils Na’vis d’un côté et les méchants humains-militaires de l’autre. Et forcément avec une vision aussi binaire, le long-métrage manquait de nuances. Il proposait une lecture assez basique des enjeux mis en place sans jamais réussir, de fait, à engager une réflexion complexe sur toutes les thématiques au coeur du récit. On pouvait donc craindre, derrière la maestria technique, une nouvelle désillusion scénaristique.
Heureusement, Avatar : La Voie de l’eau s’améliore en tout point à ce niveau, James Cameron prouvant qu’il est toujours capable de retrouver une forme d’éclat narratif comme pour ses précédents scénarios. Il y a encore évidemment des défauts à certains niveaux (deux ex machina, pan de personnages étrangement mis de côté…), mais les personnages de ce deuxième volet sont vraiment une de ses grandes réussites tant ils offrent un regard plus élaboré sur la guerre en cours sur Pandora.
Le personnage de Quaritch est, de ce point de vue, l’un des plus passionnants tant son nouveau parcours (dans le corps d’un Na’vi désormais) l’oblige à vivre un chemin quasi-identique à celui de Jake Sully dans le premier volet. S’il ne ressent pas forcément les mêmes émotions, le voir intégrer ce corps le rend plus ambivalent, d’autant plus lorsqu’il découvre qu’il a un fils (Spider) et qu’il va choisir, dans le climax final, de le sauver au lieu d’anéantir. Le super-méchant sans âme d’Avatar se transforme soudain en super-méchant avec un coeur et des incertitudes, lui conférant un arc bien plus intrigant pour la suite.
Et cette belle nuance se ressent aussi dans le reste du métrage à travers d’autres personnages. Son fils Spider, par exemple, est la métaphore même de l’entre-deux, coincé dans son corps d’humain et guidé par son amour des Na’vi, évoluant au fil du film après avoir croisé le chemin de son père (on en parle plus bas).
Par ailleurs, l’inquiétude, voire le désespoir, du biologiste (incarné par Jemaine Clement) lors des chasses de tulkun interroge l’éthique des deux camps, le scientifique étant bien conscient qu’il fait partie d’un système destructeur, mais navré de ne pouvoir s’en échapper. Et même si c’est une bribe dans un film de 3h12, cela démontre habilement les dissemblances qui peuvent habiter chaque être humain dans cette guerre (loin de faire totalement l’unanimité donc).
Au-delà, les Na’vi connaissent aussi une forme de revirement. Alors que tous semblaient vouloir s’engager dans la lutte contre les humains dans le premier volet, le débat s’ouvre dans Avatar 2. Pour les Metkayina, la guerre n’est pas forcément leur combat et ils préfèrent rester à distance du conflit dans un premier temps.
Autant dire que le dualisme du premier volet laisse la place à une intrigue beaucoup plus politique. Les personnages naviguent entre la culpabilité et la rédemption, quel que soit leur camp, et se questionnent alors enfin sur leur conviction et l’altérité. En résulte une oeuvre bien plus passionnante sur l’éveil des consciences et la frontière plus floue du Bien et du Mal.
DU BON drama des familles
S’il marque le retour tant attendu de Jake et Neytiri, Avatar 2 est autant la suite de leur histoire que le début de celle de leurs enfants. Ceux-ci, au nombre de quatre (ou quatre et demi en comptant Spider), prennent donc une place cruciale dans le récit, qui s’intéresse plus à leur évolution dans leur nouvel environnement qu’à la lutte de leurs parents, qui se retrouvent éclipsés par leur fougueuse progéniture.
Cet apprentissage des us et coutumes des Metkayina permet d’inverser le rapport de force dans la très belle et puissante séquence finale, qui voit les enfants enseigner ce qu’ils ont appris à leurs parents pour les sauver et leur transmettre une forme de sagesse et de savoir qu’ils n’avaient pas. Mais cette distribution étendue, au-delà de soulever de nouvelles questions d’héritage et de transmission, est aussi l’occasion d’installer de nouvelles dynamiques entre les personnages et au passage de muscler leur caractérisation, mais toujours à travers des prismes universels : la paternité, la maternité, l’amitié ou l’amour.
Le fait d’inclure leurs enfants dans la narration permet également d’impacter plus durement et violemment le couple, car si la mort de Grace Augustine était touchante compte tenu de sa relation maternelle avec Jake, celle de Neteyam est déchirante et plus qu’un prétexte pour lâcher une larme ou deux.
Un des principaux reproches qui a été fait au premier Avatar était son manichéisme comme on le disait plus haut, à cause de personnages assez caricaturaux, dont le colonel Miles Quaritch. Si la symbolique de le faire revenir dans la peau de son ennemi n’est pas particulièrement fouillée, le scénario s’est débrouillé pour rendre le personnage plus gris et interroger sa nature profonde à travers sa relation naissante avec Spider, le fils biologique de Quaritch 1er du nom.
Ce mini-Tarzan a un positionnement délicat, si ce n’est tragique, et intensifie presque à lui seul toute la dramaturgie qui reposait principalement sur l’histoire d’amour impossible de Jake et Neytiri dans le précédent opus (même si cet aspect est repris à moindre échelle avec Lo’ak et Tsireya). Spider a un pied dans chaque camp, mais n’a pas encore trouvé sa place, ni son identité. Ce personnage est tiraillé entre deux figures paternelles, deux peuples et deux cultures voués à se détruire mutuellement. Sa relation ambigüe avec Kiri est d’autant plus pertinente qu’elle partage ses interrogations, sa différence et son appartenance à deux mondes en guerre.
AVATAR 2 fois plus d’action
Il y avait de l’action dans le premier Avatar, mais y avait-il de grands morceaux épiques qui restent en tête pendant des jours, des mois, des années ? Pas sûr. Mais pas grave, puisqu’Avatar 2 y remédie avec un climax sous forme d’immense shoot d’action.
Dans les airs, à la surface de l’eau ou sous l’eau, sur le bateau à l’endroit et à l’envers : James Cameron multiplie les niveaux d’action dans un feu d’artifice où presque tous les personnages sont réunis pour livrer une bataille. Tout semble se jouer ici, maintenant, pour sauver la famille, le clan, l’océan, et finalement l’âme de Pandora. Même la baleine solitaire rejoint la fête, tandis que le cinéaste ne cesse de jouer avec les dimensions, les distances et les environnements, jusqu’à un point monsieur météo avec l’éclipse. Ou comment assembler un best of de sensations et de couleurs, avec bien évidemment du bruit et de la fureur.
Ainsi, si Avatar 2 traîne un peu la patte durant la première moitié, la surdose d’action remplit finalement à merveille la mission du blockbuster total.
Si ce climax fonctionne aussi bien, c’est avant tout parce que James Cameron additionne les conflits pour créer le sentiment d’une urgence collective et individuelle. Autrement dit : les personnages sont les vrais moteurs de l’action, et pas de simples outils. Il faut sauver les enfants sur le bateau et sous l’eau, il faut échapper à Quaritch et aux chasseurs, et il faut éviter les tirs dans le chaos. Ensuite, et avec un deuil à digérer, il faut libérer Kiri et Tuk, et venger la mort de Neteyam. Enfin, il faut s’échapper du bateau qui coule, stopper Quaritch, et finalement sauver Jake, Neytiri et Tuk.
Le monde des enfants entre en collision avec celui des adultes, et la mort brise la candeur des plus jeunes. La guerre totale (le clan Metkayina qui attaque avec les Sully) devient un affrontement personnel (Jake et Neytiri contre Quaritch), avant de se conclure sur une note de pure survie dans un décor d’apocalypse. Cette somme de péripéties qui gonfle la dramaturgie, c’est exactement ce qui manquait au premier Avatar, trop resserré sur quelques personnages (dont des seconds rôles peu intéressants) et conflits trop simples.
James Cameron, lui, semble réunir toutes ses obsessions et donc la moitié de sa filmo (notamment Abyss et Titanic) dans une exaltante escalade d’action et émotion. Le jeu de mots n’est pas de trop : ce climax se traverse comme en apnée, avec quelques respirations bienvenues pour mieux repartir.
Les gens ayant gardé les yeux ouverts sans trop baver se demanderont sûrement où est passé le clan Metkayina (éjecté du climax sans explication), et comment la famille a pu se faire un gros câlin sans penser à Spider. Ils pourront aussi se demander si James Cameron a bien fait de se mesurer à son propre classique Titanic avec une nouvelle scène de naufrage, forcément minuscule à côté. Mais une chose est sûre : sur Pandora, James Cameron n’a pas (déjà) fait mieux, et Avatar 2 écrase le premier.
CGI, 3D, HFR, 4K, HDR, IMAX, PZK, CQFD…
S’il y a bien une chose sur laquelle le premier Avatar est inattaquable, c’est sa technique tout bonnement révolutionnaire. James Cameron n’a pas seulement popularisé et perfectionné l’usage moderne de la 3D, mais a inventé de nouveaux outils essentiels au cinéma numérique, à la peinture d’univers virtuels et à la performance capture.
Forcément, on était en droit de se demander si Avatar 2 n’allait pas souffrir d’une perte de cet effet de surprise, mais l’effet de sidération reste total. James Cameron ne s’est pas reposé sur ses lauriers, et a amené une nouvelle fois le cinéma dans le turfu en creusant l’écart avec la concurrence. Au-delà de la précision de textures plus photoréalistes que jamais, La Voie de l’eau est capable de montrer des micro-détails ahurissants qui accentuent l’immersion, du grain de beauté du personnage de Kate Winslet aux cicatrices discrètes de Neytiri.
C’est d’autant plus impressionnant que les corps des Na’vi (et leurs expressions faciales) s’intègrent parfaitement dans l’univers de Pandora, en particulier avec l’eau, matière ô combien difficile à rendre en CGI, et qui interagit avec les peaux de manière parfaite.
Mais surtout, Avatar 2 prouve à quel point Cameron comprend la technologie et la façon de faire accepter des évolutions à un public récalcitrant. Alors que le HFR (High Frame Rate, une augmentation du nombre d’images par seconde) a été boudé par le public depuis Le Hobbit et Gemini Man pour son fameux « soap opera effect » (qu’on détaille dans la vidéo ci-dessus), le cinéaste a su contourner le problème.
En alternant les traditionnelles 24 images par seconde avec son double (48 donc), Cameron acclimate l’oeil sans compromettre la fluidité accrue de ses images, dont on perçoit tous les détails. La 3D, très bien pensée au demeurant, en devient plus confortable, et l’on espère sincèrement que cette démarche pourrait enfin imposer un outil essentiel, mais peu apprécié jusque-là. Il va sans dire que l’artiste a perçu les (rares) limites du premier Avatar, et les a transcendées.
Le climax est effectivement puissant. Mais tout de même 2h30 d’intrigue étirée en longueur avec des clichés d’ado de films américains pour en arriver là. C’est chère payé le climax. Et franchement rematez celui du 1 il y a beaucoup moins de faux raccord. Et perso je le trouve bien plus épique et mieux rythmé par rapport au reste du film.
Cgi , 3d, motion capture tout ça ,tout ça mais n ‘arrive quand même pas au niveau de rendu du roi scorpion dans le retour de la momie version Brandon fraser
Le mode de vie Na’avi ? non seulement j’ai vu des terriens, non seulement j’ai vu des occidentaux, non seulement j’ai vu des américains, mais en plus il s’agissait de terriens occidentaux américains de la côte ! Comment j’aurais aimé voir des Na’avi… mais non ! et c’est le très gros problème de ce film.
Ma plus grande attente pour cette nouvelle année 2025 AVATAR 3 FIRE and ASH. En décembre .
Pour moi Avatar 2 est au même niveau que le premier, ni plus ni moins. Je garde une petite préférence pour le 1 à cause de la claque incroyable ressentie à l’époque, mais le scénario sage et copié-collé sur Pocahontas et Danse avec les loups m’a toujours un peu énervé par rapport au génie des scénarios des Terminator et de Abyss. Heureusement, il y a Quaritch, le meilleur personnage des deux films. Et comme on le sait, un bon méchant sauve toujours un film!
Cameron a compris le message et a étoffé ses personnages, qui sont tous plus travaillés et intéressants. Il y a des raccourcis simplistes dans leurs relations (Spider et son père, Jake et son fils), mais on est plus en empathie avec les na’vis, on y croit plus, donc le film gagne en épaisseur. Le reste est un enchantement visuel et les scènes d’action sont dingues, même si elles renvoient un peu trop à la filmo de Cameron. Conclusion, Avatar 1 et 2 se neutralisent, chacun ayant de petits avantages ou petits défauts par rapport à l’autre. Quoiqu’il en soit, pour moi Cameron peut encore mieux faire, maintenant qu’il a vraiment installé son peuple improbable d’extraterrestres mi-animaux mi-indiens d’Amérique bleus. On a fini par y croire, c’est maintenant que tout va se jouer pour la saga Avatar!
Si vous ressortez cet article, c’est que votre avis n’a pas changé. A priori le mien non plus : je ne suis pas d’accord avec vous sur ce coup là.
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Techniquement déjà, le film est certes une grosse démo mais il n’a pas d’âme. Le VFR ça fait moins soap opéra mais ça fait cinématique PS5. Et moi j’aime entrer un minimum en empathie avec le personnage principal de mon jeu ps5. Or ici Sully, ayant épousé un mode de vie tribal, devenu chef de guerre naavi et toruk mak’to fait machine arrière toute et redevient un marine inexpérimenté et bas du front. Comme si on souhaitait reset l’évolution qu’il avait eue dans le premier volet. Quant à sa femme, autrefois forte et indépendante, elle n’est plus qu’une simple épouse/mère.
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Protéger la tribu ? Non la famille est plus importante. Si ça c’est pas de belles valeurs américaines? Quant aux problématiques du film, elles s’apparentent à celles de touristes en vacances à Hawaii pour y dompter des dauphins pendant que les ados iront draguer sur la plage en se faisant des tatouages au henné.
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Au delà d’avoir été profondément mal à l’aise face au message et aux valeurs portées par ce film, je n’ai pas su entrer en empathie avec les personnages et j’ai donc ressenti bien peu d’émotions
Moi mon petit souci avec ce film c’est que je n’ai ressenti aucune émotion, alors que dans T2 quand le Terminator demande à Sarah Connor de le faire descendre dans la lave c’est très émouvant, alors que c’est une machine.
Trop de facilités scénaristiques : une situation et hop la créature baleine ou Kiri et ses pouvoirs cheatés sont là pour sauver la mise en mode Deus Ex Machina.
Quaritch qui change d’espèce pour se retrouver dans celle qui la peau d’un Na’vi sans que ça semble le perturber, je veux bien croire qu’il sois obnubilé par sa vengeance mais bon.
Par ailleurs Cameron ne veux pas lâcher ce personnage.
Cameron qui reprends pas mal d’idées du 1er avatar ou de ses anciens films, les marines méchants et trop sûr d’eux comme dans Aliens, le baleinier qui coule comme dans Titanic.
La général avec l’exosquelette. Les phénomènes bizarres sous l’eau comme dans Abyss.
Il parais que Cameron étais fan du commandant Cousteau et ça se sens avec toutes les scènes sous marines.ça se sens bien.
Après c’est beau, le design des machines et des créatures sont géniaux, mais bon une histoire simple étirée en longues avec maintes et maintes péripéties.
Petit coup de chapeau à Spider : avec le sauvetage de son papa il vas sûrement être à l’origine même involontairement d’une guerre totale le « petit bonhomme ».
Bientôt un article : Avatar : passé le côté technique, pourquoi c’est quand même pas bien folichon.
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Pas du d’accord. Le premier se suffit largement à lui-même. Tout y est plus grand, plus épique et plus ambitieux tandis que le second ne fait que répéter à une échelle plus restreinte toute le gigantisme du film précédent.
Le côté nouveau peuple avec ses us et coutumes m’a profondément ennuyé. Et plus encore, tout l’aspect spectacle familial à la sauce disney teinté d’un peu de drame m’a irrité au plus au point.
Et dans le troisième, Cameron pense vraiment nous surprendre un peu plus avec son peuple de feu ???
Avatar 2 est plus inutile et dispensable qu’autre chose. Sans moi pour les suites.