Les Pires Films de 2024 – Ecran Large

Par La rédac
4 janvier 2025
Les Pires Films de 2024 – Ecran Large © Canva Sony Netflix

Le flop des pires films de 2024 selon Écran Large à la mi-année, avec du Netflix, du Spider-verse, des espions et beaucoup d’horreur.

Après un classement des meilleurs films de 2024, place aux films qui ont le plus déçu, énervé, exaspéré… la rédaction depuis le début d’année. Un rendez-vous obligatoire (tant vous aimez ça, on ne va pas se le cacher), les flops sont aussi l’occasion de revenir à la fois sur les films les plus mauvais et ceux qui n’ont pas été à la hauteur des attentes (même si on ne peut évidemment pas tout évoquer).

Après consultation des membres de la rédaction, Ecran Large a constitué son flop 10 des pires films de 2024 sans faire de distinction entre les sorties cinéma, les films sortis directement sur les plateformes de streaming ou ceux balancés en catimini en VOD-DTV… Car désormais, les navets se subissent sur tous les types d’écrans.

kraven Aaron Taylor-Johnson
On l’a vu trop tard pour l’intégrer, mais Kraven, ta place est ici

10. Le Salaire de la peur

  • Sortie : 29 mars 2024 (sur Netflix)
  • Durée : 1h44
Le salaire de la peur version Netflix

Le Salaire de la peur de Clouzot est un chef d’œuvre et le remake de William Friedkin, Sorcerer, lui a tenu la dragée haute (voire surpassé selon certains). Forcément, on était donc inquiet de voir une nouvelle version lancée par Netflix. Cela dit, le N rouge nous avait plutôt enchanté avec ces films d’action à la française AKA ou les deux Balle Perdue. Et comme les trois films en question étaient portés par Alban Lenoir, on avait envie de croire un peu dans Le salaire de la peur version Netflix dans lequel l’acteur tient un rôle de gros bourrin (encore).

Pas de chance, on avait zappé que ses points de bonus « bon acting » ne suffiraient pas à contrer les points de défaillance « bof acting » de Franck Gastambide d’un côté et ceux « very bad real » de Julien Leclercq de l’autre. Sans trop de surprise, Le salaire de la peur nouvelle génération n’a rien du grand thriller tendu d’autrefois, les passages complexes des camions remplis de nitro ne créant jamais aucune véritable angoisse sur le destin des personnages.

Au contraire, avec sa bourinnerie habituelle, le réalisateur français choisit de privilégier des bonnes grosses fusillades au cœur d’une mise en scène franchement banale. Quand le tout est emballé avec des dialogues mollassons, une romance futile, des trahisons ringardes et des ralentis sans queue ni tête, difficile de sauver quelque chose de ce Salaire de la peur, bel et bien effrayant mais jamais pour les bonnes raisons.

9. Drive Away-Dolls

  • Sortie : 3 avril 2024
  • Durée : 1h24
drive away dolls
Coffre ce film ? Rien

Les frères Coen tracent leurs routes séparément et prennent des directions opposées, ce qui permettrait presque de voir qui était responsable de quoi dans leurs films en duo. Joel a ainsi réalisé The Tragedy of Macbeth, un film très grave et très sérieux, en noir et blanc, léché à l’extrême, et avec des acteurs établis (Denzel Washington, Frances McDormand). Ethan Coen a de son côté fait le contraire avec Drive-Away Dolls, petite farce inoffensive sous forme de road movie comique, qui raconte le périple de deux copines lesbiennes (Margaret Qualley et Geraldine Viswanatha) en quête de sexe et de problèmes.

Ça peut sembler amusant de prime abord, mais ça n’est pas le cas. Drive-Away Dolls est une petite chose incroyablement simple et oubliable, qui devient rapidement crispante malgré sa durée très courte (1h24). C’est même pire que ça puisque la mauvaise blague est étirée à l’extrême, avec un manque navrant d’idées, une posture pseudo-cool ridicule, et un humour des plus ringards (le running gag des godemichets, qui ressemble à un sketch sur C8). Un mauvais sous-Coen réalisé par l’un des frères Coen, en voilà une curieuse expérience.

8. Joker : Folie à deux

  • Sortie : 2 octobre 2024
  • Durée : 2h19

Que se passe-t-il quand un studio retient les pires leçons d’un succès inattendu ? Si l’on en croit Joker : Folie à deux, il donne 200 millions de dollars à une équipe qui n’a pas envie d’être là, à part pour dynamiter le principe même de la suite forcée. En soi, le doigt d’honneur pourrait être réjouissant s’il n’était pas complaisant avec sa propre médiocrité. Tout ce que Todd Phillips fait de Joker 2, c’est un manuel méta poussif pour faire comprendre aux incels du monde entier qu’ils ont eu tort de s’identifier au personnage d’Arthur Fleck.

On s’interrogera sur la nécessité d’un tel rétropédalage en l’espace de 2h30, surtout lorsque le cinéaste ne remet jamais en question la responsabilité de la mise en scène du premier volet. Après tout, si une bonne partie du public est passé à côté de son intention, c’est peut-être qu’il faut d’abord enlever la poutre de son œil. En même temps, Joker 2 prouve bien que le diptyque n’a jamais vraiment dépassé le stade larvaire du « on vit dans une société », qui enfonce des portes ouvertes sur l’injustice et le déterminisme social.

Tout ça essaie de cacher sa sale odeur par ses scènes de comédie musicale ratées et ses personnages soi-disant foufous, réduits à peau de chagrin (pauvre Lady Gaga, qui n’a rien à jouer). Mais le pire derrière cet énième gâchis des icônes de DC, c’est qu’en voulant se croire plus malin que son sujet, il ne fait qu’envoyer le pire message aux majors hollywoodiennes. Pour une fois qu’un « auteur » avait carte blanche sur un blockbuster de cette trempe, il a fallu qu’il préfère l’auto-sabotage faussement subversif.

7. project silence

  • Sortie : 21 août 2024
  • Durée : 1h36
Et ça a coûté plus cher que Dernier Train pour Busan

Project Silence de Kim Tae-gon ou peut-être l’une des plus grosses frustrations de l’année vu le potentiel incroyable du film. Il faut s’imaginer un film qui débute sur un enchaînement de catastrophes provoquant un énorme accident sur un pont reliant l’aéroport d’une ville coréenne. Non seulement, le pont s’apprête à s’effondrer mais en plus des bêtes inconnues sont libérées au milieu des survivants et provoquent un véritable chaos.

Sur le papier, il y avait de quoi être excité et espéré une petite pépite à la Dernier Train pour Busan… sauf que finalement c’est un
énorme pétard mouillé. Project Silence est typiquement le genre de film qui n’est jamais à la hauteur de son pitch et qui fait complètement déchanter lorsque l’on constate que les bêtes inconnues sont en fait… des chiens bodybuildés, arme du gouvernement devenant totalement incontrôlable.

Ce n’est pas une menace inintéressante évidemment et il y aurait pu avoir du Cujo dans ce Project Silence, mais ce n’est jamais le cas. C’est au contraire un film catastrophe et catastrophique et très ringard. L’épais brouillard entourant le pont cache la misère, le propos sur l’expérimentation animale est assez vain et finalement on se retrouve avec un film qui veut jouer trop de cartes à la fois, entre la dénonciation politique, le film d’horreur, la SF et donc le catastrophe.

6. Venom 3

  • Sortie : 30 octobre 2024
  • Durée : 1h50

S’il fallait vraiment une preuve de l’échec cuisant du Spider-Verse de Sony, Venom : The Last Dance aurait au moins une raison valable d’exister. Ce troisième film de la franchise Venom est, comme son titre l’indique, la dernière aventure d’Eddie du symbiote avant leur séparation. Logiquement, ce dernier opus devait donc être le plus dramatique (et moins inutile) des trois, surtout qu’il annonce plus ou moins la mort d’un des protagonistes dès les 15 premières minutes.

Sauf que le scénario ne se dit jamais que c’est le bon moment pour laisser les vannes pas drôles de côté et s’intéresser à ses personnages, à ce qu’ils peuvent bien ressentir, à leurs remords ou regrets avant le grand saut. À la place, le film reste dans un second degré permanent, abandonnant le moindre élan de gravité ou de sérieux. Et ce n’est pas comme s’il compensait son manque de sérieux avec un humour débridé et décomplexé qui le rendrait a minima divertissant.

Au contraire, dès que le scénario a un truc marrant avec lequel jouer (la baston sur l’avion, le cheval symbiotique), la mise en scène s’en désintéresse presque immédiatement, comme un enfant devant un jouet trop complexe pour lui. En même temps, la réalisation a été confiée à Kelly Marcel, la scénariste des deux premiers Venom qui n’avait encore jamais réalisé de long-métrage. Encore plus pitoyable : le début du film réécrit et annule purement et simplement la scène post-générique de Spider-Man : No Way Home qui servait de passerelle entre le MCU et le SSU…

5. Rebel Moon : Partie 2 + Director’s Cut

  • Sortie : 19 avril et 2 août 2024
  • Durée : 2h02 (et ce n’est que la version courte !), 3h24 et 2h53

À quel moment l’hybris d’un cinéaste peut-elle le détruire ? Depuis la ressortie miraculée de Justice League, c’est la question qu’on serait tenté de poser à Zack Snyder, surtout à la vue du gloubi-boulga que représente Rebel Moon. Avec une première partie déjà hautement indigeste, le sous-Star Wars du réalisateur de 300 a essayé péniblement de construire son univers fait de sépia, d’effets visuels moches et de ralentis, mais sans jamais s’attarder sur la moindre scène ou le moindre personnage.

Autant dire que sa seconde moitié, censée (enfin) lâcher les chevaux, baisse les bras en quelques secondes. Entre sa séquence ubuesque de repas où chacun partage à la chaîne son trauma et le build-up narcoleptique vers la bataille finale, Rebel Moon : Partie 2 – L’Entailleuse n’est qu’un agrégat aléatoire de scènes mal écrites, mal assemblées et surtout mal montées. On ne ressent rien, surtout pas l’ampleur supposée de ce monde de SF algorithmique, qui pille tous ses classiques.

Mais tout ça serait finalement très anecdotique si Snyder n’avait pas marketé son diptyque avec la promesse de Director’s Cuts plus longs et sanglants, qui vrillent à l’auto-parodie. Si ce n’est pour quelques scènes de sexe nulles et du brassage de vent ajouté dans la mixture, Rebel Moon ne raconte rien de plus. Tout ce qu’a réussi à en tirer le cinéaste, c’est un cas d’étude parfait pour les écoles de cinéma sur la manière de ne pas structurer une histoire. Contrairement à ce qu’a voulu nous faire croire le Snyder Cut, non, un premier montage mal dégrossi ne constitue pas une œuvre définitive. Une dure leçon, qui ne nous rendra pas la dizaine d’heures perdues devant ce machin dédoublé et informe.

4. Imaginary

  • Sortie : 6 mars 2024
  • Durée : 1h45
Du jamais vu

Sacrée performance de Blumhouse en ce début 2024, qui est parvenu à nous infliger deux des pires films de l’année à quelques semaines d’intervalle. Night Swim et Imaginary représentent tout le cynisme d’un studio dont le business model repose désormais sur la production de navets à un rythme industriel. Des navets quasi similaires, formatant le public à accepter une formule prête à tourner. Forcément, on la connait par cœur, et la redondance a laissé place à l’écœurement.

Mais s’il fallait vraiment élire un gagnant, ça serait ce If… pseudo-horrifique, qui retente le coup de la peluche démoniaque après le carton indécent de Five Nights at Freddy’s. La petite famille à l’honneur est un réservoir d’archétypes insupportables, la photo insipide, les scènes d’épouvante aussi rares qu’inintéressantes, le climax d’une laideur post-Insidious assez scandaleuse. A ce stade, c’est tellement impersonnel qu’on est à court de vannes pourries. C’est dire.

3. borderlands

  • Sortie : 7 août 2024
  • Durée : 1h40

En théorie, voir Eli Roth (Hostel, Cabin Fever) s’attaquer à l’adaptation d’un jeu vidéo super bourrin réputé pour sa violence décomplexée n’était pas forcément la pire idée. Avec Cate Blanchett dans l’affaire, c’était même curieusement intrigant. Mais Borderlands a été un carnage, sauf dans le sens où on l’aurait voulu.

Depuis la sortie, l’équipe a confirmé que la production avait été un cauchemar, entre les problèmes d’un tournage pendant le Covid et les changements imposés par le studio, qui aurait saccagé ce film initialement pensé en Rated R (donc très sanglant et violent). Il y a eu des reshoots supervisés par Tim Miller, le réalisateur de Deadpool, parce qu’Eli Roth était occupé sur son film d’horreur Thanksgiving ; le scénario a été réécrit par plusieurs personnes ; et même le compositeur a changé en cours de route. Autrement dit : Borderlands est un énième exemple de désastre industriel. 

Mais le pire, c’est que même avec ces informations sur les coulisses et beaucoup d’imagination, rien dans ce film ne permet d’en envisager une version réussie. Pas une scène ne fonctionne, que ce soit dans l’action (molle et moche), les blagues (lourdes et molles), ou les simples discussions (lourdes et ringardes). Sachant que ce truc a en plus coûté plus de 100 millions de dollars, c’est un naufrage à ranger avec les innombrables blockbusters catégorie « foutage de gueule ». Mais il y a une justice dans ce monde puisque Borderlands a été un bide spectaculaire au box-office. Comme quoi, tout n’est pas perdu.  

2. loups-garous

  • Sortie : 23 octobre 2024 (sur Netflix)
  • Durée : 1h34
Le moment où le film arrête d’adapter le jeu (ça fait 15 minutes)

Avez-vous vu Rebel Ridge, excellent film de Jeremy Saulnier attendu depuis belle lurette, qui décrit un bras de fer légal et politique aux répercussions exaltantes ? Si oui, c’est probablement parce que vous lisez la presse cinéma. Si non, c’est parce que Netflix a décidé de très peu mettre en avant cette nouveauté, pourtant parmi les meilleures de son catalogue depuis belle lurette. Le service a plutôt décidé de placarder les affiches du navet Loups-garous sur chaque pixel exploitable de sa page d’accueil, capable à elle seule de remplacer une promo de blockbuster.

En soi, c’est ça qu’on reprochait au géant du streaming lorsqu’on rappelait les vertus du désabonnement à la fin de notre critique. Non pas qu’il distribue exclusivement des téléfilms moisis, comme on peut parfois le lire sur le net. Mais il profite désormais d’une telle influence qu’il peut choisir, promouvoir tel ou tel acteur culturel, ambition artistique, qualité de divertissement. N’est-ce pas d’ailleurs l’intérêt du modèle de la SVoD, tel qu’il nous a été vanté pendant son explosion ?

Pourtant, il préfère prendre la relève du pire de la télévision telle qu’elle nous empoisonne depuis des lustres et nous matraquer avec des comédies trépanées du bulbe écrites en suivant un cahier des charges quasiment calé sur le rythme des coupures pub. Et le pire, c’est qu’elle sacrifie pour ça un potentiel monstrueux, celui en l’occurrence du jeu de société, renié après 3 scènes pour mieux caser ses obligatoires reprises de Michel Sardou, commentaires sociaux puants et blagues dignes de Sébastien Patoche. Ce n’était pas mieux avant, c’était pareil.

1. Madame Web

  • Sortie : 14 février 2024
  • Durée : 1h57

Il y a eu l’épisode Venom, puis l’épisode Venom 2 et enfin l’épisode Morbius. En trois films, le Sony Spider-Verse a réussi à atteindre les profondeurs de nullité comme rarement. Toutefois, vu la chute de qualité constante de l’univers, on avait presque espoir que Madame Web ne puisse pas s’enfoncer plus bas. Que nous étions naïfs… Dès la promotion du film, l’attitude de Dakota Johnson en disait long sur le désastre à venir et on a très vite compris son désarroi après (ou pendant) le visionnage.

Madame Web a largement teasé un film avec plusieurs super-héroïnes et quelques scènes d’action, mais ce n’était évidemment que du vent. Entre un méchant catastrophique, une héroïne en complet décalage avec ses camarades de jeu (Cassie Web ne semble pas dans le même film que les trois ados), un montage ridicule où une virée en taxi nous transporte en Amazonie en une seule coupe… rien ne va dans Madame Web. Et malgré sa nullité permanente, le film ne parvient même pas à être amusant, c’est dire la torture.

Concrètement, Madame Web était peut-être un navet avant même d’être un navet, et malheureusement pour nous, les pouvoirs d’anticipation de Cassie n’ont rien pu y faire. Le film a fait un four monumental au box-office avec 100 millions de dollars récoltés dans le monde pour 80 millions de budget. Comme quoi, il y a encore un peu de justice en ce bas monde.

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Marc en RAGE

Qui a vu LES CHÈVRES 🐐 ? Avec Danny Boon et Gérôme Commandeur. Le pire des Scnenario rien que la Bande Annonce on voit la catastrophe de ce NAVET.

des-feves-aux-beurres-et-un-excellent-chianti

1 Mme Web. et son univers spider man sans spidey et sa BA honteuse ou on te fait croire à une équipe de spider girls, (0,5 secondes dans le film) et au placement de produit le plus minable de l histoire du cinéma, rien comparé à Brad.pitt et sa canettes
.
2 borderland , pauvre cate blanchett que diable allait elle faire dans sa galere.,alors que pour mon pote gamer c est son n1 de l’année.
.
3 trap et sa pub déguisée pour tenter de booster la carrière de chanteuse de la derniere après avoir vainement de tenter de pousser pour sa fille réal avec  » les guetteurs « 

Sanchez

La grosse arnaque de l’année est The substance, débile et beauf à souhait.
La déception de l’année c’est furiosa , le film est bon mais l’aspect visuel est catastrophique pour moi.
Pour le reste Maxxine était raté et Longlegs le plus gros pétard mouillé ever , une daube

Dario De Palma

A part MADAME WEB, j ‘ai esquivé tous vos choix 2024 donc le pire de l’année au cinéma restera pour moi:

FURIOSA (je trouve ça moche visuellement et les enjeux scénaristiques guère passionnants, et je ne mentionnerai pas l’inexpressive actrice principale et Miller qui radote dans son univers)
MAXXXINE(Ti West n’est ni Argento ni De Palma ni William Lustig ni Abel Ferrara)
THE BIKERIDERS ( un « road movie » chiant et creux qui ne nous fait jamais respirer le grand air!)
CIVIL WAR (mais que raconte vraiment ce film?)
LOVE LIES BLEEDING (cinéma un peu « trash » éculé..)
MEGALOPOLIS (énorme raté du grand Francis, un film indigeste et parfois/souvent couillon)
TWISTERS (blockbuster lambda consommable et instantanément jetable)
ANORA (grosse déception de la part de Sean Baker, l’actrice s’en sort pour le reste film creux et bien trop long pour ce qu’il raconte)
LA VALLE DES FOUS (télévisuel et anecdotique)
ALIEN ROMULUS (qu’on laisse enfin cette pauvre bête reposer en paix)

Et les déceptions d’auteurs que j’apprécie d’habitude: le thriller à gros sabots TRAP et le téléfilm M6 d’Eastwood JURE NUMERO 2.

Flo1

Non c’est bien « Madame Web », ça mène son récit jusqu’au bout sans faire de digressions trop inutiles – les héroïnes en costumes et les références à Spider-Man ne représentent pas un enjeu…
C’est sympathique et pas (pour les) prétentieux.
Donc ça n’a sa place ni dans les tops ni dans les flops institutionnels…

Marc en RAGE

Une sacré déception. NOSFERATU des qualités certe pour l’ambiance mais pas vraiment indispensable.
Le désign du comte Orlok avec sa moustache , beaucoup moin charismatique que la version de Murnau ou de Herzog.
Une ⭐ pour Lily Rose Depp

jean-francoischabot

C’est vraiment une question de goût. Pour ma part, j’ai adoré loup garou. J’ai aimé madame Web et venom.

olivierboulet

Les trucs Netflix ne devrait pas concourir dans la catégorie film, les films ça sort au cinéma point, y a pas de débat sur ce point. J’aurais mis Dune 2 dans la liste.

Namouroma

On veut le flop 2024 sur Youtube, rien que pour admirer le plaisir que vous prenez à les ruiner comme par exemple @mathieu sur The Flash l’année passée 👌

naughtysoft

J’ai vu 4 films de cette liste, j’ai plutôt bien aimé. Et en toute franchise