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L’univers Spider-Man raté : quelle est la meilleure bouse ? (Venom, Kraven, Morbius, Madame Web)

Par La Rédaction
5 janvier 2025

Venom, Morbius, Madame Web… La benne à ordures du Sony’s Spider-Man Universe commence à bien se remplir. Mais quel est le pire film ?

L'univers Spider-Man raté : quelle est la meilleure bouse ? (Venom, Kraven, Morbius, Madame Web) © Canva Sony

Venom, Morbius, Madame Web, Kraven the Hunter… Mais quel est le pire film de cet univers Spider-Man sans Spider Man ? Bienvenue dans un article méchant (mais mérité).

Le Sony’s Spider-Man Universe est un cas d’école mi-terrifiant mi-hilarant. En six ans et six films, cet univers dérivé de Spider-Man et du MCU a offert l’un des carambolages les plus spectaculaires de l’industrie hollywoodienne, avec un crash à peine dissimulé par le succès des films Venom.

Car entre le premier Venom (2018, Venom 2 (2021) et Venom 3 (2024), il y a eu Morbius (2022), Madame Web (2024) et Kraven the Hunter (2024), qui ont chacun leur tour redéfini les mots « navets », « bides » et « WTF ».

Alors que l’avenir de ce Sony’s Spider-Man Universe est plus que jamais remis en question, et que le studio hésite entre constater les dégâts et continuer à exploiter le filon à n’importe quel prix, il est temps de faire le bilan de ce cauchemar. On aurait voulu faire un classement mais après réflexion, une seule question demeure : quel est le pire film de la liste ?

VENOM

  • Sortie : 2018
  • Durée : 1h52, soit 112 minutes, soit 6720 secondes
« Coucouuuuuuu, tu veux voir mon film ? »

Pourquoi c’est sûrement le pire : Probablement parce que sans lui, tout l’univers qui en a découlé n’existerait pas. Venom a surpris tout le monde en 2018 lorsqu’il a engrangé 856 millions de dollars au box-office mondial avec seulement 110 millions de budget environ (hors marketing). En France, le film a carrément attiré plus de 2,2 millions de spectateurs. Autant dire que c’est peut-être ce qui nous laisse penser qu’il s’agit bien du pire.

Même si la popularité du symbiote depuis Spider-Man 3 a été une raison suffisante pour intriguer le public et que la promesse d’un spectacle plus violent et extrême a séduit pendant un temps, le succès de Venom est une énorme arnaque. Contrairement à ce qui était attendu, le film n’est pas spécialement sombre (il est PG-13) et ses séquences brutales se déroulent finalement hors-champ afin d’éviter un trop plein de sang (sacré comble). Et sans surprise, le film n’a rien d’autre pour lui.

La critique avait d’ailleurs prévenu : le film est ultra-mauvais, sans ambition visuelle ou narrative, et repose sur des scènes d’action illisibles puisque tout se passe dans le noir. Bref, rien ne va et le projet était clairement voué à l’échec dans un monde sensé.

Évidemment, il y a une romance à la con aussi (et un quasi-triangle amoureux)

Pourquoi c’est peut-être pas le pire : Probablement parce qu’il a engendré des frères et sœurs encore plus terrifiants que lui. Venom a beau être raté sur tous les plans, il n’est jamais aussi difforme que les films qui l’ont suivi. On pourrait même dire qu’il s’agit d’un vrai tour de force en comparaison. Après tout, le film de Ruben Fleischer a l’avantage de maitriser assez logiquement l’univers dans lequel il se déroule. Tout est imparfait, mais le récit ne part pas trop dans tous les sens et l’histoire est finalement plus anodine qu’agaçante.

Et puis quand on y pense, le film a la chance d’être porté par un acteur encore un minimum talentueux à cette époque. Car avant de sombrer dans les abysses avec Venom 2, Tom Hardy n’est pas encore totalement perdu dans les méandres de la double personnalité de son personnage ici. Il jongle entre les tonalités (la comédie et la fureur en gros) et même si le film a bien peu de choses à lui offrir, il se donne corps et âme pour tenter de sauver (à sa manière) l’identité du projet. C’est presque déjà ça.

VENOM 2 : Let there be Carnage

  • Sortie : 2021
  • Durée : (seulement) 1h38 (mais c’est déjà trop)
Ouuuh, scaaary

Pourquoi c’est sûrement le pire : Venom était l’un des blockbusters les plus insipides et plats des années précédentes (ce qui n’est pas peu dire), mais il avait pour lui d’être assez inoffensif. Sa suite, au contraire et conformément à sa scène post-générique, ose piocher l’un des personnages les plus adorés de l’univers Marvel : Carnage, symbiote qui n’a pas volé son nom. Enfin, dans les comics.

Avec lui comme antagoniste, ce qui était un choix industriel décevant mais cohérent devient une trahison : Venom 2 est toujours classé PG-13 !

Le prétendu monstre carnassier est à peu près aussi cruel que Venom était un anti-héros dans le premier film. Il détériore du mobilier urbain, dégomme quelques voitures et se retient de lâcher plus d’un « fuck ». Rien qu’un petit tir de flashball entre les deux yeux n’a pas déjà réglé. Et c’est comme si tout le monde en avait conscience, entre un Tom Hardy fatigué de cabotiner et un réalisateur, Andy Serkis, en mode service minimum.

La scripte est en vacances, les incohérences s’accumulent (l’ouverture !), Venom fait des omelettes et Sony tente tant bien que mal de pallier le je-m’en-foutisme général avec des sous-entendus dignes du pire des années 2000 (lol en fait ils sont amoureux). Un carnage.

C’est drôle parce qu’en fait ils ressemblent à un couple

Pourquoi c’est peut-être pas le pire : Venom 2 est assurément plus insultant, mais il est indéniablement moins chiant (1h38 au compteur). Puisque tout le monde est en roue libre, on gagne forcément en vitesse. Il y a de quoi passer le temps, entre la pseudo-intrigue de comédie romantique lourdingue qui culmine dans une scène de fête pas loin de la parodie, et le jeu forcé de Woody Harrelson.

Force est de constater qu’à l’heure des catastrophes industrielles de 2h30 et des projets mégalos sortant de 10 ans de development hell pour mieux attenter à nos rétines, les bonnes vieilles suites pourries emballées entre deux lignes de coke par une armée de yes-men rappelleraient presque les grandes heures des années 1990. Autrefois cantonnées au DTV, elles occupent désormais des écrans pendant 1 mois. On peut s’en contenter. C’est dire le niveau de l’industrie… et du Sonyverse.

MORBIUS

  • Sortie : 2022
  • Durée : 1h45 qu’on ne récupèrera jamais
Warcraft : le renoncement

Pourquoi c’est sûrement le pire : On pensait avoir survécu au pire avec Venom (1/5). Puis on a vu Venom 2 et Morbius (0,5/5), et on a commencé à sérieusement s’interroger sur notre système de notation. D’ailleurs, Madame Web et Venom 3 (0,5/5, encore) n’ont pas réglé cette histoire.

Une énième origin story poussiéreuse avec un vampire traité comme un sous-Batman ? Oui. Un duel calqué sur Venom (le sérum à la place du symbiote) ? Oui. Un dégueulis de CGI aussi beau que nos miniatures YouTube ? Evidemment. Une romance aussi convaincante que la fausse tête de Jared Leto que Jared Leto a trimballée sur un tapis rouge ? Aussi.

Venom, c’est un film qui aurait déjà été nul et ringard s’il était sorti entre Catwoman et Green Lantern, et qui est donc indéfinissable 10 ou 15 ans après. C’est un film de vampire sans tache de sang où on égorge et éventre comme on distribue des baffes. C’est un film à 80 millions qui semble avoir été tourné dans trois couloirs et deux labos comme un vulgaire épisode de série. C’est un film tellement mal raconté, écrit et monté qu’il accumule les hallucinations et incohérences (la caractérisation des gamins dans l’intro, la scène du métro, le rôle des flics, et la manière dont personne ne réagit aux pouvoirs de Morbius dans la ville).

Et encore, on n’a même pas parlé des scènes post-générique avec Michael Keaton. Et on n’en reparlera pas en fait.

Jared Leto quand Joaquin Phoenix a eu l’Oscar

Pourquoi c’est peut-être pas le pire : Le Spider-Verse de Sony, c’est comme Afida Turner ou Valérie Pécresse. A partir d’un certain seuil de médiocrité, il y a un miraculeux rebond qui en fait des objets pop dans de sombres recoins de la civilisation (internet). A ce titre, la performance de Matt Smith en Keyser Söze mutant vaut à elle seule le détour, et figure déjà parmi le top 10 des YOLO hollywoodiens de ces 30 dernières années.

Mais c’est bien sûr Jared Leto qui tire son épingle du jeu. Il joue Morbius comme s’il était chez Christopher Nolan, tout comme il jouait House of Gucci comme s’il était dans le film Mario des années 90, et le Joker de Suicide Squad comme chez Guy Ritchie. Personne n’a le don pour se tromper de film comme lui, et c’est ça qui rend Morbius fascinant pour beaucoup de gens.

On refuse de ne pas condamner ce genre de pratique, mais comme on aura bientôt de quoi faire un excellent top 20 des pires performances de Jared Leto au cinéma, on essaie de voir les choses du bon côté. Après tout, on n’a pas encore mis 0/5.

MADAME WEB

  • Sortie : 2024
  • Durée : 1h57 (!!)

Pourquoi c’est sûrement le pire : Par quoi commencer ? Par le fait que c’est un film de super-héros sans super-héros, ou un spin-off de Spider-Man sans Spider-Man ? Après la mauvaise blague de Morbius, Sony continue de prendre ses spectateurs pour des tartes avec des campagnes promotionnelles mensongères, jusque sur l’affiche officielle qui tease trois Spider-Woman… qui n’existent pas encore et n’existeront probablement jamais (à moins que Madame Web fasse les mêmes chiffres que Venom au box-office, mais permettez-nous d’en douter). 

Madame Web a tenté d’ouvrir une nouvelle voie pour le Sony’s → SPIDER-MAN ← Universe, loin du Spider-Man « tant attendu », mais pas de Peter Parker dont le scénario réécrit mine de rien l’origin story, parce que… ça pourra peut-être servir à un moment ? Et puis, foutu pour foutu, Sony n’aura qu’à mettre ça sous le tapis, comme l’alliance entre Morbius et le Vautour, ou l’affrontement entre Venom et le Spider-Man de Tom Holland.

Bébé Peter n’est d’ailleurs pas le seul joker du film, qui a aussi subtilement introduit dans les premières minutes Las Arañas, une tribu (composée de trois personnes) d’hommes-araignées qui vit cachée dans les arbres – enfin, c’est ce qu’on suppose étant donné qu’elle a une mythologie aussi importante que son temps à l’écran. À ce niveau de ridicule et de désespoir, on pourrait croire à un sabotage volontaire.

Dakota Johnson, qui ne comprend toujours pas ce qu’elle fait là

Quant au film en lui-même, il n’a même pas la folie grossière mais un peu marrante d’un Morbius. Passé l’introduction, on arrête d’écarquiller les yeux et la stupeur laisse place à l’ennui tant il ne se passe rien, sinon un empilement de scènes sans queue ni tête (ni organes internes). Tous les enjeux sont balancés dans les 15 premières minutes et tout le reste consiste à voir se dérouler ce qui a été annoncé, comme une double condamnation. Quant à la technique, elle est plus hallucinante que dans The Flash, Ant-Man 3 ou Morbius, en particulier ce climax terrible qu’on croirait sorti d’une mauvaise production The CW. 

Pourquoi c’est peut-être pas le pire : Un peu comme pour Morbius, la nullité atomique de Madame Web le rend presque fascinant par instants. Le film partage en tout cas avec l’ami vampire de Jared Leto la palme de l’opus le plus joyeusement nanardeux du SSU.

Mais là où ça touche au sublime, c’est qu’on a vraiment l’impression d’être revenu au niveau d’inanité et d’incompréhension des adaptations de comics du début des années 2000. Le récit du film se déroule en 2003, mais comme emporté dans un vortex temporel, la séance entière semble nous ramener à la même époque, autant d’un point de vue esthétique que de l’écriture. On a bien cringé devant l’intervention du Toxic de Britney Spears, mais franchement, s’il y avait eu un petit Evanescence sur l’un des montages atroces des visions de Cassandra, on aurait peut-être eu entre les mains un chef-d’œuvre de décadence.

Venom 3 : The Last Dance

  • Sortie : 2024
  • Durée : 1h50 de néant

Pourquoi c’est sûrement le pire : La grande force du SSU, c’est qu’à force de niveler par le bas, la saga redéfinit nos échelles de valeur. Si l’on en croit certaines des critiques américaines, Venom 3 : The Last Dance serait le meilleur film de la trilogie, et le plus fun. On soupçonne ces gens de ne pas avoir vu beaucoup de films en 2024, ou alors de s’être contenté de recopier la note d’intention du dossier de presse.

Au fond, c’est peut-être ça le plus terrible : Venom 3 ne repose que sur les intentions de son scénario, sans jamais qu’il en tire une direction claire. Un paradoxe pour ce road-trip assumé tendance Thelma et Louise beauf entre le Mexique et les États-Unis, qui ne profite pas de sa situation pour en tirer une dynamique entre Eddie et le symbiote.

Promis, c’est bientôt fini

De toute façon, plus personne n’essaie de cacher la misère. La motivation du méchant est bazardée en une minute de pré-générique, et l’origin story du Dr. Paine (pauvre Juno Temple) se fait en un flash-back de 30 secondes pendant un rêve. Même si la convention de Genève a interdit depuis longtemps de telles facilités d’écriture, Venom 3 se plonge avec délice dans cet élan de médiocrité total, peu aidé par une mise en scène toute lisse confiée à Kelly Marcel (la scénariste des premiers volets).

Pourtant, avec sa promesse d’une menace cataclysmique et du sacrifice nécessaire de Venom et/ou Eddie, il y avait de quoi créer de l’enjeu. Mais tout est bêtement mis à plat, à l’instar du décor de son climax sans âme, hangar en plein désert qui se fait appeler la Zone 51…

Cheval de guerre

Pourquoi c’est peut-être pas le pire : Allez, un point positif… on cherche, on cherche… Oui, on a trouvé ! Par rapport aux deux premiers films, on sent que Venom 3 cherche (un peu) à tester les limites de son classement PG-13, surtout au travers du xénophage, le gros monstre méchant du film. Seule image rigolote, la créature recrache ses victimes dans d’immenses gerbes de sang par un évent à l’arrière de sa tête. Voilà, c’est tout.

KRAVEN THE HUNTER

  • Sortie : 2024
  • Durée : 2h07 qui ont fait mal le mercredi de sortie où on l’a rattrapé (signé : Mathieu et Geoffrey)

Pourquoi c’est peut-être pas le pire du pire : Parce qu’avec J.C. Chandor derrière la caméra, on a envie d’imaginer qu’il y a des miettes de cinéma quelque part dans ce produit sans âme. Le réalisateur de Margin Call, All is Lost et A Most Violent Year avait forcément des raisons de se laisser embarquer, et pas uniquement du côté du salaire ou des abdos d’Aaron-Taylor Johnson.

De loin, Kraven the Hunter ressemble même presque à un film, moins brouillon qu’un Madame Web et plus carré qu’un Venom 3. Mais c’est finalement tout aussi grotesque qu’un Morbius, avec lequel il partage le même je-m’en-foutisme à tous les étages. Entre les coïncidences formidables pour faire avancer l’intrigue, les dialogues ultra-explicatifs et les seconds rôles désastreux (pauvre Ariana DeBose), le film oscille entre le super-premier degré et la kamikaze légèreté.

kraven Aaron Taylor-Johnson
Trophée de chiasse

C’en serait presque amusant si c’était réellement assumé. Kraven the Hunter aurait pu jouer sur le grand-guignol assumé avec l’accent russe de Russell Crowe, Aaron Taylor-Johnson qui prend des poses de mannequin-abdos-reluisants, Alessandro Nivola qui coexiste avec le Matt Smith de Morbius dans le multivers du cabotinage, et ce climax absolument immonde où il se transforme en Rhino. Mais ça n’est pas le cas.

Pourquoi c’est sûrement le pire : Parce qu’au bout de six films construits sur le même modèle, ça ressemble simplement à une attaque coordonnée et réfléchie, et à un navet avec préméditation.

kraven the hunter
Rhinocé-atroce

Tout le monde a visiblement choisi de s’enfermer dans un énième film grisâtre, où la Tanzanie, la Sibérie et Londres sont compressés dans une même palette de couleurs triste à en pleurer. Où les scènes d’action n’ont rien à vendre, puisque la plus amusante est une copie quasi confirme de Captain America 2. Où l’argument du Rated-R est encore une fois une blague, et où les personnages sont traités par-dessus la jambe (l’utilisation de Calypso, un sommet de nullité). Et où la fin promet encore un nouveau méchant (évidemment ridicule) et de nouveaux lendemains (évidemment improbables vu le bide stratosphérique de ce Kraven).

Seule blague réussie dans ce navet à ranger aux côtés d’Elektra : les images vues dans la promo mais absentes du film, qui indiquent clairement que le Kraven qui endosse son fameux costume à la fin devait avoir droit à une autre conclusion, quelque part entre une grotte et la jungle (une scène post-générique teasant quelque chose qu’on ne verra jamais ?). C’est la cerise sur la gâteau du rire.

Rédacteurs :
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Commentaires
18 Commentaires
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justinebach

Au moins Venom est fun !

Flash

J’aurai bien aimé participer à ce classement, mais pas maso, j’en ai vu aucun.

naughtysoft

Un dossier qui ne porte vraiment pas son utilité. Moi, j’adore cet univers et je l’assume. C’est bien le changement et faut bien que ça tourne au lieu de continuer constamment sur les super héros

marcusfallout

Le PIRE des pire pour Moi …. MADAME WEB, c’est même pas un Flim de super héroïne absolument rien à sauver dans cette magnifique bousse 💩, bonne continuation à vous 👍 👍 💪

marieg

Ces films auront pour eux de vous donner de la matière pour faire des articles plus divertissants qu’eux-même! Accordons-leur au moins ça. 😛

desastre

Je n’ai vu que Morbius. Je confesse un attrait malsain pour Jared Leto. C’est l’ecole Francis ce type . Ça sonne toujours faux, plus il prend son air sérieux et plus il est grotesque, j’adore. Bref, lorsque l’article évoque « un top 20 des pires performances de Jared Leto au cinéma » J’en ai des frissons le long de la colonne.

des-feves-aux-beurres-et-un-excellent-chianti

Pour moi tout ce spider verse sans spider man c est de la grosse diarrhée cinématographique.
Néanmoins peut on dire que les venom au moins assument leurs côtés lourdingues(scene aquarium du resto)même si c est une insulte aux comics et un gros crachat visuel. Je veux dire par là, quand tu vois les BA tu peux pas être surpris alors que morbius et Mme Web j ai l’impression que ça veut nous vendre du film.serieux et très propre sur lui alors que c est des bouzes.
.
Sinon quasi égalité , que des bouzes , en attendant Kraven

Prisonnier

Tu sais quand un film de super héros est pire quand tu commences à réhabiliter les fantastic four de Tim Story et le Daredevil de Ben Affleck.

IronS40180

Venons sans aucun doute les pires catastrophes de l’univers.

Mika

D’ici là on aura vu / joué deux ou trois DLCs de l’excellent Marvel’s Spider-Man 2.
C’est géré par Sony aussi, mais pas par Amy Pascal. 😀