Robert Pattinson a connu la gloire internationale avec les Twilight et s’est depuis transformé en champion du cinéma d’auteur.
C’est dans les colonnes de Variety que l’acteur, vu récemment dans Le Roi et The Lighthouse et sur le point d’incarner Batman, a parlé de la saga qui l’avait fait découvrir au grand public. Si Pattinson n’a jamais caché que la célébrité immédiate, délirante et l’enthousiasme de certains fans avait pu lui sembler démesurés ou oppressants par le passé, il s’est bien gardé de cracher dans la soupe.
Plutôt conscient qu’il doit tout à Twilight et aux ados qui ont humecté des millions de sièges de cinéma, le comédien ne tape pas sur ce qui demeure simultanément une grande énigme et une des rares tentatives réussies de lobotomie par l’image. Mais, il a néanmoins laissé transpirer qu’il était bien conscient de la charge idéologique ultra conservatrice et puritaine qui animait l’œuvre originale.
On est glamour ou on ne l’est pas
« C’était quand même une histoire bizarre, Twilight. C’est juste que, je veux dire, c’est étrange la manière dont les gens ont réagi au film. Je suppose que les livres peuvent être décrits comme très romantiques, mais en même temps, ce n’est pas une romance dans le style de The Notebook. The Notebook, c’est doux, et ça vous brise le cœur, mais Twilight, c’est quand même l’histoire de ce type, qui tombe sur la seule fille avec laquelle il a envie d’être, mais qui veut aussi la bouffer.
Enfin, pas la dévorer mais boire son sang ou un truc comme ça. Il ne fait pas face à un groupe de personnes leur interdisant d’être ensemble, c’est son corps qui s’en charge. »
Comment ne pas se tirer une balle dans le pied
L’air de rien, Robert Pattinson met le doigt sur un élément central de la franchise Twilight, dont il faut se souvenir qu’elle a été imaginée par Stephenie Meyer, autrice Mormone, passablement horrifiée par tout ce qui touche au corps, au sexe, et ce qui ressemble de près ou de loin à une forme de liberté. D’où une série de romans (puis de films) qui font du désir, et notamment du désir féminin un problème fondamental et une menace existentielle pour les personnages.
Bon, après, nous ce qu’on en dit hein. L’important c’est que ces petits vampires priapiques soient heureux. Et que Robert Pattinson ainsi que Kristen Stewart continuent leurs carrières spectaculaires.
Robert Pattinson dans Cosmopolis
J’ai aime’ ce film, que je ne connaissais pas, j’ai aime’ Edward
Faut dire que je ‘ai 74 ans
Moi j’aurai bien aimé avoir un 6ème Twilight mais c’est pas moi qui décide
J afore jadore encore et encore
les haters allez vous faire, laissez mon Rob trankill
en fait, la seule personne à avoir bossé sur Twilight et qui n’a pas à rougir, c’est le directeur de casting.
Le best mon h jle kiff a mourire
Le pire c’est que c’est lui qui va jouer batman
Et dire que il va nous casser batman
@Moi: ne te fais pas de mal.
Petite anecdote: lors de la sortie du 1er film, j’ai gagné une place pour aller le voir. A l’époque, aucun à priori, je n’avais absolument jamais entendu parler de cette saga, je me suis dit « Cool, un film de vampires, ça doit être sympa! »
En sortant de la salle, j’ai littéralement dit à l’amie avec qui j’étais allé: « J’ai gagné les places, mais on aurait dû nous payer pour aller voir ce truc ».
Un vrai navet, et tu peux voir à mon histoire que je ne dis pas ça pour le plaisir de cracher sur le film parce que c’est à la mode.
D’ailleurs, je me demande toujours à quel moment arrivent les vampires dans l’histoire, car dans le 1er Twilight, je n’en ai vu aucun!
Autrice mormone ça tout dire. Jamais vu, je devrais une fois me chauffer, mais avec des stats comme ça comment est-ce possible de se laisser tenter