Claude Brasseur s’est éteint le 22 décembre 2020 à l’âge de 84 ans.
Récompensé de deux Césars dont celui du meilleur acteur dans un second rôle en 1976 pour Un éléphant ça trompe énormément, Claude Brasseur a traversé un demi-siècle de cinéma (avec plus de cent films à son actif !) de théâtre et de télévision. Son rôle du père de Vic (Sophie Marceau) dans La Boum en a fait un comédien célèbre et apprécié des Français, et plus récemment, on l’avait vu dans L’Étudiante et Monsieur Henri, ou encore dans les trois Camping.
Toutefois, si ses rôles grand public en ont fait une icone du cinéma français ces dernières années, il ne faut pas oublier que le comédien a tourné pour les plus grands : Bertrand Blier évidemment, mais aussi Georges Lautner, Jean-Luc Godard, François Truffaut ou encore Costa-Gavras pour n’en citer que quelques-uns.
A l’âge de 84 ans, il est décédé ce 22 décembre 2020.
Claude Brasseur, père de Sophie Marceau dans La Boum
Son agent a annoncé la nouvelle de sa mort à l’AFP, avec ces mots :
« Claude Brasseur est décédé ce jour dans la paix et la sérénité entouré des siens. Il n’a pas été victime du Covid. Il sera inhumé à Paris dans le respect des règles sanitaires et reposera aux côtés de son père, au cimetière du Père-Lachaise à Paris »
Fils du grand comédien Pierre Brasseur (Les Yeux sans visage, Le quai des brumes), père d’Alexandre Brasseur et filleul insoupçonné d’un certain Ernest Hemingway (rien que ça), il faisait partie de la grandes familles d’acteurs du cinéma français. Personnage à la voix rocailleuse et au visage sympathique, il laisse derrière lui une filmographie très vaste et écléctique, dans laquelle drames et comédies se sont cotoyés pour le plus gran plaisir des spectateurs.
En soixante ans de carrière, le comédien aura attiré 92,5 millions de spectateurs, et si sa dernière apparition dans Tout le monde debout n’est sûrement pas sa meilleure, on ne pourra s’empêcher de faire une standing ovation posthume à ce bon vivant discret, mais inoubliable.
C’est bien de faire des news comme ça !
Cela nous ramène à une autre époque où tout était différent
Ça change des bobos des stars nombrilistes de Hollywood
Sacré acteur, avec une voix toute suite reconnaissable, il était assez discret en dehors de ses rôles.
Pour moi, il restera le meilleur Vidocq jusqu’à aujourd’hui. Le générique de Vidocq est fantastique. Des films tels que « Le viager », « Un éléphant… » et sa suite, « La guerre des polices,.. restent inscrits dans ma mémoire.
Il va manquer. Son rôle de père de Vic dans la Boom est le plus marquant.
L’Etudiante et Monsieur Henri, avec Noémie Schmidt, est pas mal non plus.
La Boum quel bonheur !!!
Tout môme, je me régalais avec les rediffs des nouvelles aventures de Vidoc.
Nostalgie…
il va être mis en bière alors…
je sors…