S’il y a bien un comédien dont la carrière demeure une source ininterrompue de surprises et de cosmiques prises de risques, c’est Nicolas Cage. Et Prisoners of the Ghostland en constitue une nouvelle preuve, disponible sur OCS Choc.
L’action se déroule dans la petite bourgade de Samourai Town, ville aussi paisible qu’on peut l’être après l’apocalypse, et dans laquelle sévit un certain Hero, braqueur de banques de son état. Du moins l’était-il jusqu’à ce que le Gouverneur lui confie la tâche de retrouver sa fille adoptive. Voilà un point de départ relativement classique, qui n’est pas sans évoquer un certain New York 1997, dont on pourrait craindre qu’il aboutisse à un résultat très classique, si ce n’était le fou furieux Sono Sion qui se chargeait de diriger cette folle entreprise.
Spectacle de sons, sabre et lumières
Prisoners of the Ghostland est donc un récit complètement azimuté, passablement foutraque, pas toujours abouti, mais qui offrira aux amateurs de Nicolas Cage une récréation bien méritée, l’artiste étant ici entre les mains d’un auteur à la hauteur de sa plaisante démence. On se réjouit donc tout particulièrement de voir débarquer le film officiellement en France, quelques mois après l’avoir découvert lors de L’Etrange Festival. En effet, le long-métrage est désormais accessible sur OCS Choc.
Et si après cette belle tranche de Cage, vous en voulez encore, sachez que nous avons en réserve une vidéo consacré à une autre cochonnerie Cagienne sortie il y a peu : le contemplatif quoiqu’énervé Pig.
Déception pour ma part.
Y a 20-30 ans ça aurait été marrant mais là c’est de la merde. Mal joué, mal filmé, mal tout.
Vu. Gros nanar. On voit bien les vendus à Nicolas Cage.
Un bon client pour le nanard land assurément^^
Je suis bon public. Mais là c’est une purge comme je n’en ai jamais vu. Rien à sauver.