Albert Hughes, l’un des producteurs exécutifs du Continental (la série dérivée de l’univers John Wick), a tenu à défendre Mel Gibson malgré la controverse.
Disons qu’entre les deux cent Fast & Furious, les quinze Mission : Impossible, les douze-mille Star Wars et autres productions Marvel à multiples projets dérivés, Hollywood aime bien étirer ses franchises jusqu’à l’inévitable point de rupture. Aussi, il aurait été surprenant que la grosse machine américaine ne cherche pas à capitaliser au maximum sur l’une de ses franchises les plus lucratives.
Avec un peu plus d’1 milliard de dollars de recettes engrangées aux quatre coins du globe, John Wick s’est effectivement imposé comme l’un des titres d’action les plus rentables de la dernière décennie, tant et si bien que John Wick 5 a d’ores et déjà été confirmé par Lionsgate, et que deux spin-offs s’apprêtent à voir le jour : le film Ballerina avec Ana de Armas dans le rôle principal, et la série Le Continental, portée par Mel Gibson.
Mad mel
Si la nouvelle a bien entendu ravi les aficionados de l’univers créé autour du Baba Yaga, certains ont émis davantage de réticences en découvrant l’implication de l’ancien Mad Max dans le projet. En effet, l’acteur a vu son image publique ternie suite à une série controverses aussi diverses que variées. Néanmoins, le producteur Albert Hughes a tenu à insister sur la pertinence de ce choix de casting dans les colonnes de TV Line :
« Je me suis plutôt concentré sur les films que j’ai pu voir en grandissant, sur les performances passionnantes de L’Arme Fatale, ou encore Mad Max 2, mon film de chevet. Il a cette qualité que je retrouve dans d’autres acteurs, comme Shia LaBeouf, Tom Cruise, Tom Hardy… Quand je les vois interpréter un rôle, j’y crois. Je peux regarder Shia dans Transformers et m’investir dans la diégèse du film. »
« Et il en va de même pour Mel Gibson. Les casseroles de sa vie personnelle ne me regardent pas. J’essaie simplement de faire mon travail, et de m’entendre avec une personne qui sait ce qu’elle fait aussi bien devant que derrière la caméra. Il correspond parfaitement au rôle. Le personnage est en roue libre, et c’est fun. Voilà tout. »
Clairement, on a vu mieux au département des plaidoyers. En effet, il est peut-être un tantinet mal avisé d’appeler à la séparation entre l’Homme et l’artiste par les temps qui courent. Pour ceux dont Le Continental aurait malgré tout attisé la curiosité, la série sera diffusée à compter du 22 septembre sur la plateforme Prime Video.
L’homme n’est pas à séparer de l’artiste… l’artiste EST l’homme. L’homme est plutôt séparable de son oeuvre, mais pour en faire la nuance faut-il avoir encore un peu d’esprit!
Aucune casserole mel Gibson a beaucoup de talent et des convictions ça ne gêne que le wok
Il a parfaitement raison ce monsieur.
Il n’y a rien de mal à viser c’est simplement ce qu’on appelle « avoir des couilles ».
Quelque chose qui échappe à la compréhension de la plupart des journalistes qui se couche ventre à terre dans le conformisme…
« il est peut-être un tantinet mal avisé d’appeler à la séparation entre l’Homme et l’artiste par les temps qui courent » J’aimerais sincèrement savoir pourquoi.
Je pense que c’est un choix qui doit être personnel. Personnellement, je ne regarde plus les films de Woody Allen. Cet homme me répugne et je n’arrive pas à différencier l’homme de l’artiste. Mais je n’impose pas ma façon de penser à qui que ce soit. C’est une affaire de sensibilité légitime. Mais qui ne regarde que soi.
Et je trouve ça plutôt hypocrite. Avec le nombre d’acteurs/actrices, producteurs/productrices, réalisateurs/réalisatrices, chanteurs… Qui sont impliqués dans des affaires similaires voir pire. Et que vous ne tolérez pas que l’on puisse choisir de faire la différence entre l’homme et l’artiste. Alors allez au bout de votre logique et arrêtez de consommer toutes œuvres artistiques. Car dans presque chacune d’entre elles
Je crois que les commentaires sont assez unanimes quant au misérable biais de cet article. Mais il est bon de rappeler encore une fois ce qui devrait être une évidence, toute affinité idéologique mise à part:
« Clairement, on a vu mieux au département des plaidoyers. En effet, il est peut-être un tantinet mal avisé d’appeler à la séparation entre l’Homme et l’artiste par les temps qui courent. Pour ceux dont Le Continental aurait malgré tout attisé la curiosité »
Axelle Vacher, votre travail de « journaliste » ne devrait pas consister en un exercice d’indignation partiale et ostentatoire. Il est plus que regrettable que l’on doive vous le rappeler en permanence. Employez plutôt votre énergie à l’amélioration de votre style (insipide) et à dissiper votre ignorance (abyssale, ce que j’ai pu constater en passant en revue vos « articles ») en matière de cinéma et de cinéphilie.
Comme l’a si bien dit Elon Musk, ce n’est pas à l’Anti Defamation League de décider qui a le droit de jouer dans tel film/série ou non
À écran large vous êtes vraiment de grosses m….. Je crois qu’il y a consensus là dessus
Mel is the best
Mel Gibson il peut même m’insulter sans s’excuser, je lui pardonne tant qu’il me donne des belles performances d’acteur
Très bon acteur, rien a foutre des casseroles qui la au cul surtout qu’elle sont pas d’aujourd’hui. Hâte de le revoir