Jurassic World 4 : Renaissance, avec Scarlet Johansson, pourrait bien bouleverser l’histoire de la saga en révélant un secret majeur sur l’un des principaux personnages.
Depuis le chef-d’œuvre intouchable Jurassic Park de 1993, la franchise est un véritable parcours de montagnes russes. Après un deuxième volet qui ne réinventait rien, et un Jurassic Park 3 absolument calamiteux, la saga a été relancée avec Jurassic World en 2015. Malgré des qualités cinématographiques allant du zéro absolu (Jurassic World : Le Monde d’après) au divertissement pop corn qui s’assume (Jurassic World : Fallen Kingdom), l’arc Jurassic World est monstrueusement rentable, chacun des trois films de cette nouvelle trilogie ayant rapporté plus d’un milliard de dollars au box-office mondial.
Le prochain Jurassic World 4 : Renaissance se doit donc d’être à la hauteur (au moins commercialement) de ses aînés, et pour ce faire, c’est Gareth Edwards (Godzilla, Rogue One) qui s’est glissé derrière la caméra. La bande-annonce ultra spectaculaire de Jurassic World 4 qui a tâché de nous convaincre que la patte du réalisateur relèverait le niveau, lui qui a déclaré que son Jurassic World : Renaissance sera « un film de braquage ».
Cependant, entre deux braquages d’œufs de dinosaure, le film pourrait révéler plusieurs grands secrets, dont un concernant l’un des personnages clés de la saga. Un élément qui pourrait bouleverser l’appréhension de la licence Jurassic Park/World… pour toujours.
Un visionnaire qui dépense sans compter
Ces révélations concernent John Hammond, le fondateur du premier Jurassic Park et patron de la société InGen, qui est souvent perçu comme un bienfaiteur philanthrope, désireux de partager les merveilles de la science avec notre bas monde. Cependant, une analyse approfondie de ses actions et de ses décisions pourrait suggérer que le gentil papy aurait pu avoir une ambition démesurée doublée d’une négation complète de toute considération éthique.
Si l’on observe froidement les événements de la saga, on constate que, en ressuscitant des espèces éteintes par pur désir de divertissement (et dans le but de s’enrichir), John Hammond a joué avec les lois de la nature et mis sciemment en danger des vies humaines ainsi que l’équilibre écologique.

Le génie du mal de Jurassic World 4
Dans Jurassic World 4, des indices pourraient amener à penser que Hammond pourrait avoir eu des motivations encore bien plus tordues. Le synopsis officiel mentionne la découverte d’un « secret sinistre » sur une île autrefois utilisée pour la recherche de Jurassic Park.
« Lorsque l’opération de Zora (Scarlett Johansson) croise celle d’une famille civile dont l’expédition en bateau a été chavirée par des dinosaures aquatiques en maraude, ils se retrouvent tous échoués sur une île interdite qui avait autrefois abrité un centre de recherche secret pour Jurassic Park. Là, sur un terrain peuplé de dinosaures d’espèces très différentes, ils se retrouvent face à face avec un secret sinistre et choquant qui a été cachée au monde pendant des décennies.«
Cette révélation pourrait remettre en question l’image bienveillante de Hammond et le positionner comme le véritable antagoniste de la saga.

Jurassic World 4 : Renaissance des emmerdes
Le site de l’Ile C, où se déroule Jurassic World 4, aurait été le théâtre de nombreuses expérimentations génétiques menées par InGen. Celles-ci avaient pour but de créer l’ultime prédateur, un géant monstrueux destiné à être soit une bête de foire destinée à attirer un maximum de spectateurs, soit une arme biologique qui aurait pu être vendue au plus offrant. Et tout cela aurait été la volonté même de John Hammond.
Pour rappel, John Hammond était un habitué des cachoteries et des mensonges en tout genre. Par exemple, il avait caché au reste du monde l’existence de l’Isla Sorna, l’île du film Le Monde perdu : Jurassic Park. Peut-être était-ce pour éviter toute mauvaise presse après les événements du premier Jurassic Park, mais il est aussi possible que son but était de pouvoir mener à bien ses expériences génétiques en toute discrétion.
Ajoutons que, dans le roman original de Michael Crichton, John Hammond est décrit comme un égocentrique paranoïaque, méfiant et antipathique envers son entourage. En révélant les intentions perverses du milliardaire, Gareth Edwards pourrait donc aussi renouer avec le livre de Crichton.

Si Jurassic World 4 confirme la théorie selon laquelle John Hammond avait décidé de mener en secret des expériences génétiques sur des dinosaures sur l’île C en toute connaissance de cause, cela pourrait redéfinir pas mal des enjeux narratifs de la saga, et ramener sur le devant de la franchise des thématiques oubliées depuis ses débuts : les dangers de l’hubris humaine et la nécessité d’une responsabilité éthique dans la science.
Afin de savoir si John Hammond était un gentil papy dépassé par les événements ou un véritable génie machiavélique qui aimait jouer à Dieu avec l’ADN de dinosaures, il faudra patienter jusqu’au 4 juillet 2025, date de sortie de Jurassic World 4 : Renaissance dans les salles françaises.
Même si Hammond pouvait ressembler à un gentil papy dépassé par les évènements dans JP1, Spielberg le décrivait comme un capitaliste libéral et avide de profits. Même si il faisait des caresses aux petits vélociraptors sortant de l’oeuf, Hammond salivait en pensant aux bénefs que l’oisillon teigneux allait rapporter.
Je pense que Spielberg a atténué le personnage par rapport au roman, en transférant le côté cupide sur l’avocat qui se fait bouffer sur les gogues. Mais pas de doute qu’il le présentait déjà comme un savant fou bien dérangé, qui se trouvait des excuses en prétendant vouloir permettre au public de s’éduquer à la science en s’amusant dans son parc. Donc aucune surprise que Hammond soit le grand méchant depuis le début.
Ils ont vraiment appelé cette ile de JW4 le site C ??
.
Après le site B du Monde Perdu et de JP3, et le site A utilisé sur les autres films, ils vont bien trouver un moyen de nous faire tout l’alphabet…
Les jurassic world, une horreur, mais faut dire que le choix de crisp rat, son absence de talent et de charisme, n’a pas aidé les films…
Hammond ou Gates ?
Ne serait ce pas Tim (le petit fils du 1er JP), le mec aux lunettes ?
J’allais dire que ce serait quand même trahir Spielberg, mais vu que Spielberg avait trahi le roman de Crichton, ils peuvent tout à fait le faire sans que ce soit choquant.