Presque 20 ans après l’original, Le Diable s’habille en Prada 2 est en chantier, et Meryl Streep est impliquée.
Comédie culte des années 2000, Le Diable s’habille en Prada met Meryl Streep dans la peau de la diabolique Miranda Priestly, une rédactrice en chef à fort caractère d’un magazine de mode, qui est une tortionnaire pour ses assistantes Andrea Sachs et Emily Charlton, jouées par Anne Hathaway et Emily Blunt. Petite bombe au box-office, il rapporte 326 millions de dollars dans le monde, pour 35 investis.
Si en 2006, Meryl Streep est la tête d’affiche évidente, le film a propulsé Anne Hathaway et Emily Blunt sur le devant de la scène internationale pour définitivement lancer l’énorme carrière qu’on leur connait aujourd’hui. Quand on apprend qu’au moins deux des actrices du trio pourraient être réunies dans une suite, on est plutôt intrigués.

Le Diable se rhabille en Prada
D’après les informations de Variety et The Puck, le film suivra Miranda Priestly (Meryl Streep) naviguant à vu dans sa carrière alors que le monde du magazine traditionnel est en plein déclin. Elle fera alors face à Emily Charlton (Emily Blunt), désormais cadre supérieure d’un groupe de luxe disposant d’un budget marketing dont Priestly a désespérément besoin pour la survie de son magazine Runway.
Aline Brosh McKenna, scénariste du premier film, serait en discussion avec Disney pour écrire cette suite à l’adaptation du livre du même nom de Lauren Weisberger de 2003. Celui-ci s’inspirait du vécu de l’autrice, qui a travaillé par le passé pour la rédactrice en chef du Vogue américain Anna Wintour.

Au niveau du casting, selon The Puck, Wendy Finerman, productrice de cette suite, aurait convaincu Streep et Blunt de rejoindre l’aventure. En revanche, Puck a affirmé n’avoir aucune information concernant Hathaway à ce stade. Pour le moment, aucun nom n’aurait également circulé pour succéder à David Frankel au poste de réalisateur, à moins que le metteur en scène reprenne lui-même les rênes du projet. Même si les sources semblent plutôt fiables et on attend désormais les officialisations des principales intéressées pour en avoir le cœur net.