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Les nouveautés films et séries à voir sur Netflix 13 au 19 décembre 2024

Par La rédac
13 décembre 2024
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Les nouveautés films et séries à voir sur Netflix 13 au 20 décembre © Canva Paramount Marvel Sony

Netflix balance nombre de films et séries dans son catalogue chaque semaine, sans qu’on les remarque ou que la plateforme ne l’annonce officiellement. Écran Large revient sur les nouveautés ajoutées par Netflix du 13 au 19 décembre 2024, films et séries confondus dans une liste non exhaustive.

Quels sont les films et les séries à ne pas manquer cette semaine sur la plateforme de streaming ?

CARRY ON

  • Déjà disponible
  • Durée : 1h59

De quoi ça parle ? La veille de Noël, dans un aéroport bondé, un agent de sécurité reçoit un ultimatum terrifiant : laisser passer un objet suspect ou laisser mourir la femme qu’il aime.

Pourquoi il faut le regarder ? Vous avez aimé Liam Neeson dans Non-Stop, vous avez adoré le huis-clos Phone Game où Colin Farrell était malmené par un mystérieux interlocuteur et vous ne jurez que par la saga Die Hard ? Qu’à cela ne tienne, Carry-On est donc un indispensable pour vous puisqu’il mélange à peu près toutes ces références grâce à l’audace (désolé on s’emporte) du réalisateur Jaume Collet-Serra. Même s’il est coupable de Black Adam (oui oui), le monsieur est un habitué des séries B entre Non-Stop donc, The Commuter ou encore Night Run.

Mené par Taron Egerton et Jason Bateman, Carry-On lui permet ainsi de livrer ce qu’il sait faire de mieux : un petit thriller plein de tension avec quelques bonnes scènes d’action, des twists amusants (ou non) et une mise en scène parfois inspirée.

TERMINATOR : DARK FATE

  • Disponible le 15 décembre
  • Durée : 2h09
Terminator: Dark Fate
Sombre destin, en effet

De quoi ça parle ? D’une franchise qui va tellement mal que tout le monde veut nous faire oublier Terminator : Renaissance (qui a été un petit échec, donc les suites ont été annulées) et Terminator : Genisys (idem) avec une suite directe à Terminator et Terminator 2 qui efface tous les autres films. Et on ramène Schwarzy et Linda Hamilton en Sarah Connor pour faire passer la pilule, avec cette fois une John Connor au féminin à sauver d’un énième méchant Terminator.

Pourquoi il faut le regarder ? Parce que c’est moins nul que Terminator : Genisys, mais ça ne veut pas dire grand-chose. Moins dépaysant que Renaissance mais moins fade que Le soulèvement des Machines, Terminator : Dark Fate réalisé par Tim Miller (Deadpool) se contente surtout de reproduire une formule ultra-usée.

Le nouveau Terminator Rev-9 est une pâle copie des autres, l’histoire répète les mêmes étapes (affronter l’ennemi, le ralentir, fuir, être rattrapé, et recommencer), et les actrices Mackenzie Davis et Natalia Reyes ont trop peu de choses pour faire exister leurs personnages. Schwarzy est arrivé au bout du bout de la route avec ce rôle, et les meilleures idées autour de Sarah Connor n’ont finalement pas la place pour exister. La fameuse scène d’intro a fait hurler un paquet de fans, mais le vrai problème est ailleurs : Dark Fate n’a rien à raconter, et prouve que la saga Terminator devrait être laissée tranquille.

SPIDER-MAN : NO WAY HOME

  • Disponible le 15 décembre
  • Durée : 2h28 en version cinéma, 2h37 en version longue
Spider-Man: No Way Home
Fan service : le film

De quoi ça parle ? D’Andrew Garfield et Tobey Maguire qui ont essayé pendant des MOIS de faire croire qu’ils ne reprendraient pas leurs rôles de Spider-Man dans un gigantesque cross-over où le Spider-Man de Tom Holland demande de l’aide à Doctor Strange, suite aux événements de Spider-Man : Far From Home. Mais le sortilège va mal tourner, et ouvrir en grand les portes du fan service multivers…

Pourquoi il faut le regarder ? Parce que ce film, qu’on l’aime ou non, a été un véritable phénomène. Avec plus de 1,9 milliard au box-office pour un budget officiel de 200 millions, Spider-Man : No Way Home est devenu le troisième plus gros succès du MCU, derrière Avengers : Endgame (2,7 milliards), Avengers : Infinity War (2 milliards). Sacrée réussite pour Marvel Studios et Sony Pictures, qui avaient trouvé un terrain d’accord pour collaborer autour de l’homme-araignée en 2015.

Au-delà de l’aspect commercial, le film réalisé par Jon Watts est loin d’être l’un des Marvel les plus mémorables. Pétri de fan service, jonglant entre trop de personnages pour en faire quoi que ce soit de réellement intéressant (pensée pour Andrew Garfield, Tobey Maguire, Willem Dafoe, Alfred Molina et Jamie Foxx), le blockbuster semble avant tout pensé pour offrir un shot de nostalgie. C’est bien peu, surtout avec des scènes d’action si banales et oubliables.

Et ce n’est pas la version longue, avec sa dizaine de minutes supplémentaires (notamment une autre scène avec Matt Murdock, et un chouia plus de temps avec les trois Spider-Man à la fin) qui y changera grand-chose.

REVIENS-MOI

  • Disponible le 15 décembre
  • Durée : 2h03
james mcavoy keira knightley reviens-moi
La confirmation Keira Knightley et la révélation James McAvoy

De quoi ça parle ? Dans les années 30, une petite fille de bonne famille anglaise accuse l’amant de sa grande sœur d’un crime qu’il n’a pas commis, plongeant le destin des uns et des autres dans la tragédie.

Pourquoi il faut le regarder ? Histoire de rédemption par excellence (son titre original est “Atonement”, qui veut précisément dire “expiation” ou “réparation”), Reviens-moi est l’apogée de la collaboration Joe Wright-Keira Knightley, qui avait commencé deux ans auparavant avec Orgueil et Préjugés et s’était prolongé en 2012 avec Anna Karénine. Cette fresque aussi romantique que tragique sur fond de seconde guerre mondiale peut se targuer d’avoir révélé James McAvoy, au milieu d’un casting phénoménal qui compte de très jeunes Saoirse Ronan et Juno Temple, Benedict Cumberbatch, Romola Garai et Vanessa Redgrave. Rien que ça.

Le film est tiré du roman Expiation de Ian McEwan, sorti en 2001, et joue sur la subtilité entre réalité et fiction dans un récit qui parle de choses aussi dures que la guerre et toute forme de violence. Véritable voyage à travers le temps qui dépeint une culpabilité qui ne s’efface pas, autant que d’un amour qui perdure lui aussi, Reviens-moi propose autant de scènes bouleversantes que de moments particulièrement durs. A voir si on aime les drames qui malmènent, mais avec une bonne dose d’eau de rose pour faire passer le tout.

MAIS AUSSI…

Four Good Days, Parenthood, Iron Family, Le Prince des dragons : Sur les traces d’Aaravos

Tout savoir sur Spider-Man : No Way Home
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