À l’occasion de la sortie du très attendu Monster Hunter Wilds, on a classé tous les jeux de la série pour savoir lequel est le meilleur chasseur de monstre.
Malgré des débuts un peu laborieux sur PlayStation 2, la saga Monster Hunter a su peu à peu séduire des joueurs avides de sensations fortes. En s’appuyant sur un concept très simple : tuer des monstres, récolter du loot, s’améliorer et retourner dépecer des bestioles, ad vitam, soit l’essence même du Hack’n’Slash, Capcom est parvenu à bâtir une véritable institution du monde du jeu vidéo.
Grâce à une boucle de gameplay si bien maitrisée qu’elle confine au génie, et à des affrontements toujours plus épiques face à des créatures toujours plus impressionnantes, Monster Hunter est passé du stade de curiosité nippone réservée à une sorte d’élite de l’action-RPG, à un succès mondial grâce au phénomène Monster Hunter World, carton planétaire sur PS4, Xbox One et PC (on parle tout de même de 28 millions de ventes).
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Véritable institution au Japon, la série de Capcom a été adaptée en manga, en série animée avec l’excellent Monster Hunter Stories : Ride On, en anime Netflix ignoble, Monster Hunter : Legends of the Guild et a même eu les (dés)honneurs d’une adaptation filmique cataclysmique, avec un Paul W.S. Anderson aux commandes et une Milla Jovowich prête à tout pour avoir son cachet.
Quatre ans après la sortie de Monster Hunter Rise sur Switch (puis porté sur PC, PS4, PS5, Xbox One et Series X|S), voilà que débarque Monster Hunter Wilds. On s’est donc dit qu’il était grand temps de savoir quel est le meilleur jeu de la série. Les spin-offs MH Stories et les Animal Crossing-Like Diary: Poka Poka Airu Village, bien trop éloignés du principe initial de Monster Hunter ont été exclus de ce classement (tant pis pour eux). Enfin, pour faciliter la compréhension de ce classement, les multiples itérations d’un même jeu (grande spécialité de Capcom) ont été rassemblées sous la même appellation.
9 – Monster Hunter
- Sortie : 2004
- Disponible sur PS2 (sortie sur Wii en 2009)
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Le moins que l’on puisse dire c’est qu’à sa sortie en 2004 sur PlayStation 2, Monster Hunter a eu du mal à convaincre le public comme la critique. Bien que la boucle de gameplay chasse/butin/amélioration/chasse, déjà vue chez Diablo par exemple, soit déjà présente, le jeu souffre de tant de défauts qu’il n’a pas réussi à rencontrer le succès espéré par Capcom.
Les joueurs comme la presse spécialisée ont été extrêmement déçus par la lourdeur des déplacements des personnages, ainsi que par les trop longs combats. Ceux-ci étaient focalisés sur un schéma un contre un, un héros contre un monstre, alors que le public attendait plutôt des affrontements contre des hordes de bestioles.
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De plus, la gestion très fastidieuse des ressources, le système de crafting bancal et la multiplication des menus avaient eu raison de la patience de beaucoup de joueurs. Et bon sang, que c’était moche ! Même pour de la PS2, le jeu était totalement ignoble. Comparé à un GTA : San Andreas ou pire encore à un Final Fantasy X-2, Monster Hunter premier du nom, coincé entre des textures baveuses et des ralentissements intempestifs, fait pâle figure.
Pourtant l’essence de Monster Hunter était déjà là, en gestation. Les marqueurs principaux de la série comme le village servant de HUB central, des monstres ayant des faiblesses élémentaires, et même le culte Rathalos étaient bien présents. Malgré un maigre succès commercial, avec tout juste 500 000 exemplaires vendus, Capcom décida de poursuivre la licence. Une sage décision.
8 – Monster Hunter Freedom
- Sortie : 2005
- Disponible sur PSP
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Monster Hunter Freedom (alias Monster Hunter Portable au pays de Tezuka) est en réalité le portage PSP du premier jeu MH sorti sur PS2, agrémenté de quelques mises à jour. Alors, pourquoi offrir à cet opus une place entière dans ce classement ? Parce qu’il s’agit d’un opus charnière dans l’histoire de la série.
Malgré le succès en demi-teinte de MH1, Capcom a pris la décision de sortir le jeu sur la portable de Sony en 2006. Une idée de génie, car cet épisode fut celui de la consécration au Japon. Grâce à la facilité de connexion multijoueur de la PSP, permettant à quatre chasseurs de faire équipe, MH Freedom est devenu un phénomène, qui s’est écoulé à 1,3 million d’exemplaires.
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Malheureusement, le jeu n’a pas connu les mêmes joies en Occident, et les pauvres européens et américains ont souvent dû se contenter d’un mode solo, étant donné que les joueurs se comptaient sur les doigts d’une main. Cependant, malgré cela, celles et ceux qui ont eu la chance de pouvoir s’y essayer à quatre en simultané gardent le souvenir de chasses endiablées et fun au possible.
On pardonnait alors aisément au jeu le fait d’être encore plus difficile que sur la version PS2, à cause d’une jouabilité plus lourde. Et on en oublierait presque les temps de chargement d’une longueur kafkaïenne qui avait tapé sur les nerfs des gamers de l’époque.
7 – Monster Hunter Freedom 2 & Freedom Unite
- Sortie : 2006
- Disponible sur PS2 (2008 sur PSP pour Freedom Unite)
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Continuant sur la lancée de MH Freedom, Monster Hunter Freedom 2 est le portage PSP de Monter Hunter 2 (prononcer « Monster Hunter Dos » pour briller en société), sorti sur PS2 uniquement au Japon en 2006. Il s’agit de la seule version de MH2 sortie en occident. Le jeu a connu une version améliorée commercialisée sous le nom Monster Hunter Freedom Unite.
Pour MH Freedom 2, Capcom a su écouter fans de MH, et a corrigé de nombreux défauts des précédents opus, en revoyant à la hausse la qualité des graphismes, repensant l’ergonomie des menus de navigation, et réduisant les temps de chargement. Mais la révolution eut vraiment lieu avec MH Freedom Unite. Cet opus est à Monster Hunter 2 ce que Resident Evil GameCube était à RE1 sur PlayStation.
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Freedom Unite a été le premier titre de la série à inclure les quêtes de niveau G-Rank, le niveau de difficulté le plus élevé (aussi parfois appelé Master Rank). Avec toujours plus d’armes et de monstres, le jeu avait une durée de vie colossale, de plusieurs centaines d’heures pour qui voulait boucler le titre à 100%.
Mais surtout, Capcom a pensé aux joueurs solos, et a ajouté pour la première fois de la série les Palicos en tant que compagnon d’armes. Ces êtres félins intelligents (proches cousins du Chat Botté) ont été créés pour que les gamers solitaires se sentent moins seuls dans leurs aventures, et sont immédiatement devenus les mascottes de la saga.
6 – Monster Hunter Generations & Generations Ultimate
- Sortie : 2015
- Disponible sur Nintendo 3DS (sortie en 2018 sur Nintendo 3DS et Switch en Europe pour Generations Ultimate)
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S’il fallait faire une comparaison avec une autre licence phare de Capcom, Monster Hunter Generations, sorti en 2016 sur 3DS et Monster Hunter Generations Ultimate, arrivé en 2018 sur Nintendo Switch (en Europe, en 2017 au Japon), sont en quelque sorte le Ultra Street Fighter IV de la licence de chasseurs de monstres : un menu maxi best-of dégoulinant de contenu.
Les jeux comprennent presque une centaine de monstres au total, venus de tous les épisodes précédents, et permettent de visiter les villages des opus antérieurs. Du jamais vu auparavant. Et comme si ça ne suffisait pas, les développeurs ont ajouté de nouvelles capacités pour chacune des 14 familles d’armes présentes dans le jeu.
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Le problème est que son contenu gargantuesque frôle l’indigestion, et que cette surabondance de quêtes, d’armes et de monstres, qui ne peut que faire le bonheur des fans de la première heure, rend ces deux titres particulièrement difficiles à aborder pour les nouveaux joueurs. De plus, le multijoueur en ligne via la Switch était assez bancal, en grande partie à cause du manque de stabilité des structures Internet de Nintendo.
Malgré des qualités graphiques indéniables, et des chiffres de ventes énormes (plus de 12 millions de ventes sur 3DS et Switch en cumulé), Capcom a pris en compte les remarques des joueurs apeurés par ce trop-plein. Un choix de sagesse, puisque pour l’épisode suivant, un certain Monster Hunter World, le choix sera fait de favoriser l’accès au plus grand nombre en diluant un peu la formule.
5 – Monster Hunter Tri & 3 Ultimate
- Sortie : 2009 au Japon, 2010 en Europe
- Disponible sur Wii (au Japon : 2011 sur Nintendo 3DS et 2012 sur Wii U pour Ultimate, en 2013 en Europe pour cette version)
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Épisodes historiques s’il en est, Monster Hunter Tri sur Wii (2009 au Japon) et Monster Hunter 3 Ultimate sur 3DS et WiiU (2011 au Japon) constituent la bascule de la saga des consoles Sony vers les hardwares Nintendo. Et ils sont également la réconciliation de la série avec l’Occident, puisque ces opus sont les premiers à ressortir sur consoles de salon en dehors du Japon depuis le premier MH sur PS2.
Du côté du contenu, MH Tri avait provoqué un tollé chez les fans car des armes et monstres de Freedom Unite avaient tout simplement disparu. Comme à son habitude, Capcom était revenu à la charge avec MH3 Ultimate, ajoutant des tonnes de nouvelles quêtes supplémentaires et de nouvelles features, dont une possibilité de cross-save entre les versions 3DS et WiiU du jeu, permettant de commencer la chasse sur une console et de la poursuivre sur l’autre.
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Bien plus beau et fluide que ses homologues sortis chez Sony, MH Tri/3 Ultimate fut aussi l’épisode des prises de risque, avec un nouveau système de lock des ennemis, qui fut une petite révolution pour la saga, et l’ajout de combats sous-marin. Ceux-ci ont divisé les joueurs, à cause de leur gameplay très difficile à maitriser.
Avec ses graphismes léchés, ses monstres toujours plus gros et impressionnants, son look moins austère que les précédents épisodes et une accessibilité toujours plus prononcée, MH 3 Ultimate est, pour beaucoup de joueurs, l’épisode qui fut la porte d’entrée vers la série. Il reste l’un des opus favoris des chasseurs de monstres.
4 – Monster Hunter 4 Ultimate
- Sortie : 2015 en Europe
- Disponible sur Nintendo 3DS
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Seule itération de Monster Hunter 4 à avoir vu le jour en Occident, Monster Hunter 4 Ultimate a débarqué sur 3DS en 2015, soit deux ans après la sortie initiale de MH4 au Japon. Mais pour une fois, les Européens et Américains n’ont pas été lésés, car c’est une version particulièrement complète qui leur a été offerte.
Pour la première fois de la saga, le scénario est vraiment soigné. Même s’il est inutile de s’attendre à du Shakespeare, l’histoire est bien amenée, avec des personnages qui resteront dans le cœur des joueurs, comme le Caravanler ou la troupe des As de la chasse. MH4 Ultimate inclut même un nouveau système de « Quêtes de Guilde », qui offrent une expérience beaucoup plus centrée sur l’histoire.
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Du côté game design, l’heure est à la quasi-révolution, avec des cartes bien plus axées sur la verticalité, et donc moins monotones à explorer, des personnages plus souples, aux mouvements fluides, et même un système de combo d’attaques qui rend les affrontements beaucoup plus nerveux et rapides. Jamais la chasse n’avait été aussi plaisante.
C’est aussi l’épisode du 100% fan-service, puisque Capcom offrait pour la première fois la possibilité d’acquérir des DLC bonus crossover avec les grandes licences de Nintendo comme Zelda ou Metroid. Rien de tel que d’aller traquer Shagaru Magala, un Dragon Ancien, dans l’accoutrement vert de Link.
3 – Monster Hunter Wilds
- Sortie : 2025
- Disponible sur PC, PS5 et Xbox Series X|S
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Capcom a sorti l’artillerie lourde avec Monster Hunter Wilds, promettant une traque toujours plus épique et immersive. Mais derrière les biomes somptueux et les nouvelles mécaniques affûtées, le monstre le plus redoutable de la licence semble avoir été mis en cage : la difficulté.
Les premières heures de Monster Hunter Wilds sont un rollercoaster scénarisé, où l’on alterne entre combats spectaculaires et cinématiques léchées. Un jeune garçon issu d’un clan mystérieux, un Spectre Blanc à traquer, des biomes à explorer… Capcom mise sur une narration plus fluide et ambitieuse. Mais qu’on ne s’y trompz pas : ce n’est qu’un échauffement avant le « vrai » jeu. Une entrée en douceur pensée pour séduire les nouveaux venus, au risque de frustrer les vétérans de la traque.
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Entre le Seikret (la nouvelle monture en mode chocobo 2.0), la possibilité de changer d’arme à la volée, l’ajout du mode Focus pour cibler des parties précises des ennemis, Wilds est aussi le jeu le plus généreux en termes d’innovation, et le résultat de l’écoute de Capcom envers son public.
Visuellement, c’est une énorme claque (au regard des canons de la saga) : le bestiaire impressionne, les animations bluffent, et l’écosystème en perpétuel mouvement est un régal. Mais en facilitant la chasse et en réduisant le grind, Capcom a surtout assoupli la courbe de progression et a dilué (un peu) la sensation de survie et de danger omniprésent, ce qui l’empêche d’aller chiper la deuxième place de ce classement.
La grande accessibilité de Wilds est louable, mais elle a un prix : le dernier né de la franchise est peut-être le Monster Hunter le moins impitoyable de la saga. Plus grand, plus beau, plus fluide… il est aussi le moins sauvage. Il faudra attendre l’endgame pour retrouver le frisson du véritable chasseur. Malgré cela, disons le sans détour : Monster Hunter Wilds est le jeu idéal pour découvrir la monstrueuse saga de Capcom.
2 – Monster Hunter Rise & Sunbreak
- Sortie : 2021 sur Switch
- Disponible sur Switch (2022 sur PC, 2023 sur PS4 et PS5, Xbox One et Xbox Series X|S)
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Poursuivant le chemin d’ouverture tracé par Monster Hunter World, Monster Hunter Rise est l’épisode qui souhaitait s’adresser au grand public. Jamais jusqu’à présent il n’aura été aussi simple et rapide que de se déplacer dans ces terres sauvages et peuplées de bestioles toutes plus impressionnantes les unes que les autres.
Pour faciliter les déplacements, et accroître la vitesse du jeu, Capcom a créé deux nouvelles features : les Filoptères, sortes de scarabées magiques, sortes de grappins qui permettent de virevolter à l’écran, et les Chumsky, des chiens-loups géants servant de montures aux héros. Grâce à ces nouveaux ajouts, les personnages de Monster Hunter n’ont jamais été aussi rapides. Un véritable bonheur.
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Afin de se montrer toujours plus facile à prendre en main, ce Monster Hunter fait le choix de simplifier de nombreux éléments des affrontements, pour gagner en immédiateté, et se rapprocher d’un feeling typé arcade. Ainsi, la phase de traque des jeux précédents disparait, les monstres apparaissant d’office sur la mini-carte dès l’entrée dans une zone.
Bien que bourré de bonnes idées, en abandonnant certains éléments de la chasse afin de rendre l’expérience plus agréable pour tous, Monster Hunter Rise perd un peu en profondeur, ce qui l’empêche d’aller truster la première place de ce classement. Cela n’empêche pas cependant d’être clairement l’un des meilleurs épisodes pour s’initier à la traque de monstre. Ses 16 millions de ventes sont amplement méritées.
L’extension Sunbreak, qui ajoute le nouveau territoire d’Elgado, une contrée attaquée par le dragon ancien Malzeno a ajouté encore plus de contenu à ce jeu pourtant déjà dantesque, avec de nouveaux monstres (et d’anciens de retour), et une flopée de nouvelles techniques. Comme pour Iceborn, Capcom ne s’est pas moqué de son public.
1 – Monster Hunter World & Iceborne
- Sortie : 2018
- Disponible sur PC, PS4, Xbox One
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Masterclass absolue de toute la saga MH, Monster Hunter World, et plus précisément MH World et son extension Iceborne, constitue la meilleure expérience Monster Hunter que Capcom ait créée à ce jour. Au niveau graphique, le jeu est une merveille. S’il brillait déjà à sa sortie sur PS4 en 2018, il avait fait tourner les têtes lors de son arrivée sur PC, en affichant une 4K splendide et ses 60fps constants.
En termes de qualité de vie, il surclasse ses aïeux, en faisant disparaitre tout écran de chargement, et en proposant un gameplay toujours plus varié, en restant parfaitement accessible aux nouveaux venus. De même, le crafting est plus agréable que jamais et les menus ont été simplifiés au maximum. L’aspect « chasse » du titre a été extrêmement soigné, et on prend un malin plaisir à suivre les traces des monstres avant de leur tomber dessus, armés jusqu’aux dents.
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Même si le jeu était quelque peu maigre en contenu à son lancement (et ce afin de ne pas effrayer les nouveaux joueurs) avec seulement une petite trentaine de monstres, le titre n’a jamais cessé de s’étoffer au fil des différentes mises à jour, jusqu’au colossal DLC Iceborne, qui a fait grimper le compteur de monstres au-dessus de 90.
Si certains fans de la première heure avaient déploré le changement d’esthétique, et le virage plus réaliste de MH World : Iceborne, il faut tout de même admettre que la direction artistique de MH n’aura jamais été aussi belle, avec des monstres plus vivants, et des environnements à la fois variés et riches. Avec 28 millions de ventes, il reste à ce jour la plus grande réussite de Capcom en matière de chasse aux monstres.
Je ferai pas de classement. J’accroche pas du tout à cet univers vidéoludique. Par contre, j’aime bien le film
Merci pour le classement je suis fixé à présent et je suis d’accord que les premiers jeux de MH ont disons moins fonctionné à l’époque mais au fil du temps ça marche à présent. Surtout que j’adore MH Rise parce que c’est un des meilleurs jeux et que je n’aime pas generation ultimate car les graphismes ne sont pas assez « réalistes »(parce que je les ai ces 2 jeux au fait).
Bref Capcom a bien fait de continuer cette fabuleuse saga. Les monstres sont trop géniaux !!!
World, opus le plus casu (presque pas de challenge, endgame raté, un seul style de combat par arme), sorti dans un état lamentable d’ergonomie et de game-design (l’extension iceborn a dû ajouter des montures tellement il était infâme de se déplacer dans les maps) se retrouve en tête du classement ? Intéressant…
De plus je ne comprends pas pourquoi faire des couples de jeux mais différencier Monster Hunter et Monster Hunter Freedom en début de classement.
Un top intriguant :o)
Pour MHWI je suis tout à fait d’accord, le jeu claque de ouf ya rien a discuter dans ce sujet, mais pour un joueur de stories 2 je trouve qu’il est injuste de l’éloigner de la liste, oui c vrai le système de combat n’est pas pareille, la série monster hunter est basé sur un combat RPG en temps réel et stories c tour par tour, comme pokemon on peut dire, mais ça reste Monster hunter c pas vraiment juste se l’éloigner comme ça pour rien, moi je trouve qu’il est plutôt pas mal de l’accorder un peu d’importance, en tout cas pas mal comme classement
World en 1er ouai ok, rise a suivre c’est déjà plus discutable autant le gameplay filoptère et tt est sympa mais à côté pas de fin de base a la sortie du jeux… Absolument aucun suivi après cette dite fln si ce n’est des partenariats bidons… A voir sunbreak mais sera t’il déjà pas trop tard???
Je suis d’accord pour placer World en premier. Le jeu est clairement un renouveau de la saga sur bien des points. Par contre, pour Rise….Quand tu as joué à World et que tu te retrouves à Rise, tu te prends une sacré gifle vu le nombre de pas reculés avec ce jeu. Malgré les philactères, j’ai l’impression de rejouer à Freedom Unite( et ce n’est pas une qualité pour un jeu de 2021).
La personnalisation minimalistes de la chambre, les champs de recoltes disparus remplacés par l´Argosy que je trouve bof, la disparition du grappin, etc…me donne l’impression de retourner en arrière.
Après, oui, il y a des bonnes choses comme les philacteres (même si ça ne rattrapera pas World à mes yeux ) , les indications de ressources lors des recoltes ou massacres de petits monstres (t´évitant de chercher des heures), une partie d’y gameplay des armes avec un rehaussement de certains, comme la morpho ou de baisses pour d’autres comme la gunlance. Par ailleurs, la disparition des sous espèces est aussi un gros point noir à mes yeux, me donnant l’impression d’une faignantise de la part des développeurs, surtout quand je vois les designs des supérieurs se ressemblent tous. (Peut être apparaîtront ils dans la prochaine mise a jour).
Par contre, je ne sais pas ce qu’ils ont Capcom mais depuis World, ils nous font un dernier boss cassé pied et pas du tout fun. Dommage , car la narwa mère de tous avait un beau design comparé à cet immonde Shar Ishlavada.
De plus, j’ai dû mal avec les terrains désignés dans cet opus (surtout après World ) et le mode calamité est un basique tower défense (me demandant ce que ça fait dans MH).
Bref, World m’a donné l’impression que la licence avançait , malgré ses défauts ( notamment les joyaux au bonheur la chance). Mais Rise m’a donné l’impression de reculer. Et pour être franc, pour l’instant, je préfère Unite à Rise, tellement je trouve le jeu recule sur plusieurs points et s’est contente que de faire du basique (surtout après le.monstre qe World était).