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Entre ses supers combats au sabre laser et ses dialogues un peu foireux, The Acolyte a comme des airs de prélogie Star Wars avec son épisode 5, disponible sur Disney+.
The Acolyte était attendu au tournant, au vu de son placement inédit dans la chronologie de la saga Star Wars, et, pour l’instant, il faut bien avouer qu’on est un peu resté sur notre faim. Cependant, la randonnée avec le côté obscur de l’épisode 4 s’était achevée sur un cliffhanger excitant, avec la promesse d’enfin concrétiser les belles idées de la série.
Cet épisode 5 promettait donc un affrontement dantesque entre les Jedi et le mystérieux antagoniste de la série, qui pourrait bien être lié à un Seigneur Sith culte de Star Wars. Et, au moins sur le plan des combats, The Acolyte a cette fois tenu ses promesses, se posant en digne héritier de la prélogie.
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Après le cliffhanger frustrant de l’épisode 4, l’enjeu maximal de ce cinquième chapitre était évidemment l’affrontement au sabre laser entre les Jedi et l’antagoniste masqué. Une mission de taille, sachant que ces sommets traditionnels ont souvent été bâclés par le Star Wars post-rachat (coucou L’Ascension de Skywalker).
Et, ô surprise, The Acolyte ne déçoit clairement pas, avec une note d’intention qui devrait ravir les nostalgiques des duels de la prélogie. Les chorégraphies de combat sont nerveuses, rapides et élégantes, et traduisent toute la dextérité des duellistes. Les Jedi sont bien au sommet de leur pouvoir, mais se retrouvent confrontés à un adversaire d’une efficacité redoutable.
La série réussit son coup avec un épisode qui atteint un niveau de brutalité rarement vu dans le Star Wars récent, et une noirceur franchement digne de La Revanche des Sith ou de certains épisodes de The Clone Wars. Cette ultra violence installe une tension de tous les instants, où aucun personnage ne semble à l’abri d’un coup de sabre (ou autre).
Les Jedi, rapidement surpassés, se retrouvent ainsi engagés dans une lutte désespérée pour leur survie, donnant lieu à quelques beaux instants de bravoure. Grâce à tout son travail effectué sur les dynamiques de ses personnages, The Acolyte fait de ce jeu de massacre un moment majeur et impactant émotionnellement, comme une sorte de mini-Ordre 66 avant la fin de saison.
Le tout en continuant d’explorer les failles de l’Ordre Jedi, toujours aussi bien représentées par Sol, décidément le meilleur personnage de la série. Son hypocrisie face au côté obscur éclate face à un adversaire qui l’a pleinement embrassé, tout comme les méthodes douteuses d’embrigadement des Jedi, symbolisées par le destin de la padawan incarnée par Dafne Keen.
Viscéral, brutal et thématiquement inspiré, cet affrontement compte parmi les meilleurs de Star Wars depuis le rachat de Lucasfilm par Disney. Mais tout ça est contrebalancé par une narration encore bancale.
Du sabre à la telenovela
Les 30 minutes qui composent cet épisode étant largement consacrées à ce duel au sommet, The Acolyte n’a que peu de temps pour avancer sur son intrigue principale. D’autant que ses deux protagonistes, Mae et Osha, restent en marge de l’affrontement, et se retrouvent face à face pour la première fois dans la série (hors échange de regards dans l’épisode 2).
Le problème, c’est que cet épisode 5 concentre plus que jamais les forces et les faiblesses de la série. Au milieu des coups de sabres et des exécutions brutales, le destin des jumelles paraît bien insignifiant et ennuyeux.
On se prend ainsi bien plus au jeu concernant les Jedi que les deux jeunes femmes. Un constat appuyé par le jeu aléatoire d’Amandla Stenberg dans ce chapitre, clairement un ton en-dessous des autres et qui rappelle parfois les plus « belles » heures de Hayden Christensen dans L’Attaque des Clones. Le tout alors qu’elle incarne deux personnages à la fois, qui plus est capitaux pour l’histoire.
À ce titre, The Acolyte semble réunir dans cet épisode les meilleurs et les pires aspects de la prélogie. Les chorégraphies sont ultra spectaculaires et les thématiques fascinantes sur la mythologie de la saga. Mais, sur le plan narratif et dans les dialogues, l’ensemble accuse le coup, et le supposé pilier émotionnel qu’est la relation entre Mae et Osha ne fonctionne pas ou peu.
La série réussit par ailleurs plutôt bien la grande révélation autour de l’identité du Sith (ce qui pose encore des questions de lore, on attendra la fin de la série pour y répondre). Il n’y a que peu de surprise, mais sa personnalité est assez amusante pour être signalée, entre punchlines et critiques acerbes des méthodes Jedi.
On pourra dire que The Acolyte réussit ici un twist sur deux. Car si cette première révélation fonctionne assez naturellement dans le rythme de l’épisode, et pose des questions intrigantes, l’autre tombe un peu à l’eau. Reste néanmoins un bouleversement complet des enjeux qui promet une fin de saison haletante, et sans doute plus exaltante que ce qui nous a été proposé dans les 4 précédents épisodes.
Un nouvel épisode de The Acolyte est disponible tous les mercredis à partir de 3h du matin sur Disney+.
C’est toujours aussi mauvais pour le scénario et toujours aussi mal joué.
Par contre je salue l’effort pour les combats au sabre laser, il y a un réel travail et c’est bien mieux que les combats de la trilogie de Rey qui étaient totalement insipides.
Punaise, je n’en peux plus de ces Jedi bêtes à manger du foin.
Le scénario est mince comme du papier à cigarette, le méchant est tellement balaise qu’on se demande comment il peut se faire avoir, et le restant des troupes ne pense même pas à emmener une preuve de sa déconfiture.
L’avantage de ces histoires bas de gamme, c’est que l’on peut faire autre chose tout en suivant un épisode.
Je trouve que l’on est enfin un peu au dessus du niveau des précédents avec des chorégraphies guerrières plutôt sympas. Et finalement je suis plutôt raccord avec plein de trucs dans cet article. Pour moi il y a deux révélations dans cette série.
La première c’est bien que Lee Jung-jae, qui ne parle pas bien anglais dans la vraie vie, est le seul à s’en sortir pas trop mal dans cette galère.
La deuxième c’est qu’Amandla Stenberg – « révélée » par The Hate U Give – est vraiment en dessous de tout (et au passage tout aussi pathétique en tant que rappeuse…).
Bien que l’épisode 3 condense tout l’agenda débile de l’ex assistante de Weinstein, le problème de The Acolyte n’est pas que la série soit « Woke ».
Cette série est juste Weak. Et Cheap comme un épisode de Conan avec Ralf Moeller.
Où sont donc passés les 180 millions pour 4 heures de programme mal dégrossi ? C’est le même budget et la même durée que le rough-cut de Dune 2 qui a le luxe d’avoir été tourné pour partie en extérieur et non dans une bulle à écrans.
Un bon point quand même avec the Acolyte. Les vidéos de shills et react-to sont à tomber par terre.
J’avoue avoir regarder les 2 premiers épisodes et puis j’ai dis stop.
Et pourtant j’ai regardé jusqu’au bout les obi machin et Bobba truc, en vérité la naivf espoir qu’un truc qui chamboulerait chamboulerait ma déception
Je connais des personnes qui n’ont pas le service et donc passe par des liens interdits de téléchargements. Ils ne cherchent même plus à télécharger tellement ils estiment useless voir pour certains mauvais en terme de divertissement.
On est pourtant loin des années faste de Disney + et donc en vérité au moment où il y a moins de contenu au ciné/streaming/etc ces personnes même « gratuit » s’en fichent totalement de The Acolytes.
c’est terrible à dire mais on a l’impression d’être dans la pire situation que puisse vivre l’industrie du cinéma (pire qu’un confinement ou une grève) : que ce divertissement devient ennuyeux.
Quand tu ressors d’Avatar 2, La planète des singes ou Dune 2, tu te dis que même si je n’y avait pas été cela aurait la même chose, sortir de la salle en disant mouais. L’IA est dans la place (depuis un bon moment mais on nous l’a pas dit) a proposé des scénarios et des scènes insipides ou grotesques.
Épisode sympa (enfin) mais sans plus. On reste très loin de la qualité d’un Rogue One ou Andor. Par contre, ras le bol des épisodes de 30 minutes (avec 5 de générique final). L’épisode 4 et 5 auraient parfaitement pu faire un épisode d’un peu moins d’1 heure.
Cette série est complètement bidon, c’est affligeant de lire cet article, je suis choqué que vous essayez de faire croire qu’elle vaut le coup d’œil car il faut fuir ce navet intergalactique ! Cette série est une catastrophe industrielle.
Je commence a douter de vous les gars. Vous seriez pas des vendus ?
Taisez vous les grincheux, les peines à jouir.
Cet épisode est exceptionnel.
On se rapproche d’un andor.
Je ne connais personne autour de moi pour qui l’identité du sith n’était pas une évidence dès qu’il a maitrisé la jumelle.
Et je parodie Musset:
Le cahier des charges est le grand point, qu’importe les persos ? Qu’importe l’histoire, pourvu qu’on ait traité les enjeux sociaux-culturels contemporains.
Série affligeante: tout le budget semble être passé dans les coupes de cheveux, c’est mal joué, les personnages ont le charisme d’une huitre, le scénario et la mise en scène sont ridicules.