Que vaut cette saison 11 de Doctor Who ?
Qu’elle était grande, l’impatience de découvrir cette saison 11 de Doctor Who, série plus que cinquantenaire qui, depuis sa régénération en 2005, a su se moderniser tout en plongeant petits et grands dans des histoires sensationnelles, tantôt drôles, dramatiques, édifiantes ou horrifiques.
Impatience de découvrir le nouveau showrunner, Chris Chibnall, chargé de prendre le relais d’un Steven Moffat à bout de souffle créatif après six saisons aux commandes. Et impatience, évidemment, de découvrir le premier Docteur joué par une femme.
La saison 11 a t-elle été à la hauteur ? Pour nous, non.
ATTENTION SPOILERS
UNITED COLORS OF COMPANIONS
Une femme, un « vieux », un noir dyspraxique et une fille d’immigrés pakistanais sont dans un Tardis. On croirait le début d’une blague douteuse, mais il s’agit bien de la logique qui semble avoir prévalu au choix des compagnons, chargés d’épauler le Docteur dans ses aventures.
Assénons-le d’emblée, et avec force : qu’une série populaire ose placer tant de diversité en tête d’affiche constitue un authentique progrès, courageux et engagé, dont on espère qu’il fera de nombreux émules.
N’en déplaise aux esprits chagrins, Jodie Whittaker se place dans la droite lignée de ses devanciers avec ce mélange d’espièglerie, d’inventivité et d’humanisme caractéristique du Docteur. Seul problème : elle joue bien ce qu’on lui demande, à savoir… pas grand-chose. Pas de tirade mémorable, pas de coup de colère dantesque, pas de conflit intérieur déchirant. Elle semble même régulièrement en retrait de ses propres aventures, au risque de faire perdre à la série sa spécificité. Le Docteur de Whittaker n’enrichit guère la mythologie, sans que l’actrice soit en cause.
A la recherche d’une écriture plus ambitieuse et féroce
Le problème, c’est quand on en vient à se demander si cette diversification louable n’est pas devenue l’unique finalité de la saison. A ce titre, le traitement hasardeux de la dyspraxie de Ryan (Tosin Cole) interroge : réelle volonté de traiter un sujet inédit ou caractérisation facile permettant de cocher la case « handicapé » ?
Cela ne signifie nullement que la fiction ne doit pas accompagner, voire devancer, l’évolution des mentalités. Dans les saisons précédentes, la série féminisait le Maître, un personnage jusqu’alors exclusivement masculin, et introduisait une romance lesbienne inter-espèce entre un lézard et une humaine. Un message a-t-il plus d’impact s’il est glissé en filigrane, ou asséné avec la finesse d’un tract politique, au risque de ne flatter que les déjà-convertis ?
Mandip Gill, Tosin Cole, Jodie Whittaker et Bradley Walsh
UN POUR TOUS, CHACUN DE SON CÔTÉ
Cette vaste équipe de compagnons aurait pu renouveler avantageusement la dynamique duelle majoritaire dans la série, à quelques exceptions près (Eleven-Amy-Rory notamment). Sauf que trop souvent, les scénaristes n’ont aucune idée de la meilleure manière de tirer profit d’une telle équipe.
Les protagonistes passent leur temps à se séparer et se rassembler au bon vouloir des auteurs (mention spéciale à la longue filature sans objet dans la forêt dans The Witchfinders, dont l’unique but est d’isoler le Docteur). Devoir gérer trois compagnons simultanément rend ce type de ficelles bien plus flagrante. Au final, c’est surtout dans l’arrière-plan qu’ils s’illustrent, esthétiquement disposés derrière Whittaker.
La meilleure manière d’habiter tous ces personnages aurait été de leur donner une matière substantielle. Mais outre le fait qu’ils sont tous moulés sur le même modèle positiviste (pour le coup, un peu de diversité n’aurait pas été de trop), ils pâtissent d’arcs sommaires. Non pas que les thèmes soient inintéressants (deuil, rapprochement familial) ; mais tout est traité sans la moindre once d’originalité.
Il est bien difficile de ne pas sentir à dix kilomètres le dénouement du « dilemme moral » de Graham dans le final, ou de ses relations avec Ryan. Là encore, les interprètes ne sont pas en cause et s’en sortent plutôt bien avec le peu qu’ils ont à défendre.
The Witchfinders, un épisode qui met en lumière le problème de la dynamique de groupe
« ET SI ON ALLAIT CHEZ ROSA ? »
Le choix des destinations des trois épisodes « historiques » procède d’une sensibilité commune : Rosa évoque la discrimination raciale, Demons of the Punjab la partition de l’Inde, et The Witchfinders la chasse aux sorcières. Défense des opprimés, humbles populations écrasées sous la roue de l’Histoire, féminisme : la série prend à bras le corps des thèmes cohérents avec son cahier des charges.
Ces choix permettent de mettre en valeur des périodes, des événements et des protagonistes potentiellement mal connus, et c’est une excellente chose. D’une manière générale, c’est dans sa façon de se frotter à notre monde contemporain que la série se révèle la plus pertinente, qu’il s’agisse d’un simili-Trump ou d’un gag hilarant sur les coupes budgétaires ayant conduit à la disparition de UNIT.
Demons of the Punjab est d’ailleurs certainement le meilleur épisode de la saison, en ce qu’il possède tous les ingrédients d’un grand drame : la période tourmentée, l’ancrage émotionnel de Yaz, les blessures intimes, le twist relatif aux aliens… Si quelques maladresses dans l’exécution (les aliens qui laissent le Docteur dérober l’artefact qui a le plus d’importance à leurs yeux, dans le seul but de faire avancer l’histoire) l’empêchent de faire un sans-faute, il n’en reste pas moins très recommandable. Coïncidence ? C’est le premier pour lequel Chris Chibnall n’est pas crédité comme scénariste…
Hélas, ces épisodes historiques sont alourdis par des considérations contradictoires sur l’ingérence. Comprenons-nous bien : cette tension est inhérente à la série – tel événement peut être modifié, tel autre non… Dans ce cas, est-il vraiment judicieux d’attirer l’attention du spectateur sur cette incohérence ? Au début de Rosa, le Docteur insiste sur l’absolue nécessité de ne rien changer… avant d’accepter, trois minutes plus tard, de s’installer chez Rosa Parks.
Pris en flagrant délit de ficelle grossière
LE FUSIL ENRAYÉ DE TECHKOV
Connaissez-vous le fusil de Tchekhov ? C’est un principe scénaristique bien connu: « Si dans le premier acte vous dites qu’il y a un fusil accroché au mur, alors il faut absolument qu’un coup de feu soit tiré avec au second ou au troisième acte. »
Bien utilisé, cet outil scénaristique valorise le spectateur attentif. Mal utilisé, il énerve. Passons sur l’épisode de nouvel an – qui, au passage, s’évertue à multiplier les références au réveillon, faute d’avoir intégré la date dans son intrigue – dans lequel un protagoniste traîne partout avec lui un four à micro-ondes qui servira ultérieurement à défaire l’adversaire…
Attardons-nous plutôt sur le final de la saison, The Battle of Ranskoor Av Kolos. On nous précise que l’atmosphère de la planète trouble les esprits. Effectivement, le premier protagoniste rencontré est amnésique. Quel est l’impact de cette amnésie sur le scénario ? Absolument aucun, puisque le Docteur l’équipe d’un bloqueur neuronal (comme c’est pratique, elle en a cinq), qui lui permet de retrouver la mémoire.
La Bataille pour la finesse dramaturgique
Ce n’est qu’à la fin de l’épisode qu’on comprend que l’atmosphère toxique n’avait d’autre objet que de justifier la présence des bloqueurs neuronaux utilisés pour résoudre la crise. Et accessoirement, provoquer une scène dans laquelle le Docteur fait semblant d’être confuse parce qu’elle a dû sacrifier son bloqueur neuronal (comme c’est pratique, elle n’en a que cinq), ce qui ne l’empêche nullement de déjouer en cinq minutes un plan machiavélique mûri pendant plus de 3.000 ans.
Encore une fois, user de ce principe scénaristique n’a rien de honteux. Mais serait-ce trop demander aux gens dont c’est le métier de l’intégrer organiquement à l’histoire ?
En train d’essayer de capter le talent du nouveau showrunner
DES P’TITS TROUS, DES P’TITS TROUS DANS LE SCENARIO
Certains détracteurs de Steven Moffat, le précédent showrunner, lui reprochaient d’embrouiller inutilement la narration, au détriment de la cohérence. On était donc en droit d’attendre de ce nouveau départ, dépouillé d’arcs à tiroir et centré sur des intrigues plus resserrées, une certaine rigueur. Comme nous étions naïfs.
Pourquoi introduire des « robots snipers » dans The Ghost Monument s’ils sont incapables de réaliser le moindre tir correct ? Oui, les ennemis qui tirent à côté, c’est une licence fictionnelle universelle. Mais si le script précise qu’il s’agit de « robots snipers », ne serait-on pas en droit d’attendre un minimum de précision ? Et des robots capables de viser une cible même si elle court en zig-zag ? Spoiler : non. Et puisqu’une apparition ne suffisait pas, ils repassent à « l’attaque » dans The Battle of Ranskoor Av Kolos. Ils ratent cette fois deux civils désarmés à trois mètres de distance, et s’entre-tuent.
Rappelons tout de même que l’antagoniste de ce même épisode, issu d’une espèce belliqueuse, a eu 3000 ans – TROIS MILLE ANS ! – pour préparer son plan et qu’il avait assujetti deux quasi-déesses. Ce qui ne l’empêche pas d’être maîtrisé à mains nues par un homme d’âge mûr et un jeune dyspraxique.
« Vous avez un message, et il n’est pas agréable »
Quelle morale sommes-nous censés tirer de Kerblam ? Le twist déjoue efficacement nos attentes, mais si l’humain est la source du problème, la solution rationnelle ne consisterait-elle pas à automatiser intégralement le processus ? Et peut-on vraiment blâmer les pauvres hères de The Witchfinders, qui ont assisté à l’invasion de femmes mort-vivantes, s’ils croient aux sorcières ?
Puisque le Docteur va spécifiquement rendre visite à la famille de Yaz dans Arachnids in the UK, l’argument du Tardis qui le dirige là où sa présence est requise ne tient pas. C’est donc purement par hasard que sa mère travaille à l’hôtel, purement par hasard que sa voisine est victime d’une araignée, purement par hasard qu’une spécialiste de la question lui rend visite à ce moment précis. Et d’ailleurs, les araignées qui se sont échappées de l’hôtel, dont l’une a tué la voisine de Yaz ? Tout le monde s’en moque.
Le fait que tout le monde se comprenne dans The Woman Who Fell to Earth alors que le Tardis n’est pas là pour assurer la traduction simultanée, les gardiens de Resolution qui ont passé mille ans à surveiller un objet qui pouvait se téléporter, l’injure à la gravité que représente le dénouement de ce même épisode de nouvel an…. ne sont qu’une fraction des raccourcis qui parsèment cette saison.
It Takes You Away, un épisode qui tend vers l’horrifique
MOFFAT, THE GHOST MONUMENT
Passés au crible, nombre d’épisodes des saisons précédentes révéleraient de semblables facilités. Sauf que la plupart fourmillaient d’idées, de clins d’œil et de concepts stimulants. La saison 11 dans son intégralité compte moins de créativité qu’un unique bon épisode signé par Moffat.
Difficile dans ces conditions de l’évaluer autrement qu’au regard de ce qu’elle n’est plus. En tant que spectateur, on se retrouve à tenir le compte des incohérences au lieu d’être emporté par un univers, une situation inédite, un personnage marquant. Cette tolérance aux plot holes est éminemment subjective, mais n’est-ce pas le job des scénaristes de proposer des diversions pour ôter jusqu’à l’envie de les chercher ?
Le choix de partir sur un esprit différent des saisons précédentes était probablement le bon tant la formule s’essoufflait – encore fallait-il avoir quelque chose à proposer. Les bonnes idées qui parsèment la saison surnagent à peine, le rythme des épisodes est inégal, les intrigues progressent au forceps et la réalisation souffle le chaud et le froid, avec de très jolies compositions gâchées par une incapacité régulière à filmer des personnages en mouvement – la tentative de sauvetage de la sorcière dans The Witchfinders, la fuite dans l’entre-deux monde de It Takes You Away.
Au final, quelle était l’ambition de Chris Chibnall pour cette saison portée par Jodie Whittaker ? Une remise à zéro pour captiver de nouveaux spectateurs ? Souhaitons-lui cette réussite.
Mais fallait-il pour cela appauvrir l’univers de la série ? Se contenter d’épisodes indépendants hyper linéaires, phagocytés par l’exposition de leur propre univers ? Troquer le fil rouge contre le retour d’un ennemi, rebond scénaristique aussi inattendu qu’une énième réapparition de Daleks ?
Espérons que cette année 2019 « blanche » permette un ressourcement créatif et l’émergence de scénaristes audacieux qui s’approprieront le matériaux pour nous faire, de nouveau, rire, rêver, vibrer.
Dossier d’Ange Beuque.
Je suis super fan de cette série depuis mon enfance et a chaque discours transcendant je pleurais tellement je ressentais de l’émotion et il ya avait des situations si dramatiques, je viens de finir la saison 11 et je n’ai versé aucune larme, je n’ai eu aucun papillon dans le ventre, a aucun moment donné je n’ai crié putain cette série c’est la meilleure et j’ai aimé tout les docteurs et j’ai adoré que le docteur sois une femme mais les épisodes sont unique maintenant ya plus de rappelle du passé et du futur et les anciens ennemi du docteur n’existent plus, elle n’a jamais prononcé le nom de clara ou de emy, elle n’a jamais eu ses petits moments de réflexion que le docteur a dans son tardis avec toute sa peine de ses 12mille ans dans ses yeux, la fille est parfaite mais elle na pas cette tristesse dans les yeux et les scénaristes on juste crée une nouvelle série, je suis tellement triste bon je vais la reprendre de zéro
personnellement j’ai bien aimé la saison et je trouve que un peu de changement ne fait pas de mal
Je venais sur le net pour connaître le ressenti sur la saison 11. Et cet article stipule l’exact avis que j ai en aillant vu que les 6 premiers episodes du nouveau docteur. Trop de changement tue la série (La musique sans les tambours si forte a l identité de la série, l intérieur du tardis sans charme, un docteur qui manque de folie et de grandeur ou de confiance en lui pour ne pas dire d’arrogance, trop lisse qu on ne peut aimer détester.) Mais c surtout les scénarios trop légers et sans surprises qui font que les gènes et l’essence de la série est tristement affaibli voir bafoué. Pour un novice n ayant pas vu l ensemble des séries , cela pourrait être distrayant au même titre qu un stargate sg1 mais pour un habitué cela en devient lassant. A croire que le scénariste n a aucunement connaissance de l’univers du Docteur en dehors d’éléments fan services populaires placés ici et là, pour nous rappeler qu on a bien à faire à la série.
Parlons maintenant du docteur qui passe son temps à réparer des trucs et ressemble plus à un Mac Giver de l’espace pour se sortir des situations avec son « couteau suisse sonic ». Était-il nécessaire d’expliquer son utilité, quand j ai découvert la série j’ai appris a comprendre avec les indices laissés ici et là les éléments qui entourent la série.
Mais ou est le docteur intrépide curieux audacieux et surtout à la fois inattendu et réfléchi. Jamais un docteur n aura utilisé aussi souvent son tournevis pour se sortir d une situation en deux cuillères à pot. Trop de raccourci et de ficelles scénaristiques grosses comme des câbles. Seul l’épisode des robots livreurs retrouve une touche de mystère qui rappelle les épisodes les plus banals des épisodes de ces prédécesseurs. Les épisodes sont sans surprise voir lourd de dialogues et de moralités, à vouloir tout expliquer rationaliser chaque situation par des explications qui gâche la force qu est la serie c est à
dire sa follie narratrice.
ma seule critique redonnez nous MOffat !! c »est quoi ces prise de vue ? au début je croyais regarder une autre série , je n’étais même pas sur de regarder Doctor who. ici ce n’est pas le rôle principal joué par une femme qui pose problème ! mais bel est bien les scénarios qui sont vides . , cela manque d’écriture de forme et profondeur comme la saison 2 ,3 ,4 ,5,6,7 .
sincèrement c’est a la limite de la gène ! car cette saison avait les moyens de grandir encore plus . parlons pas de la saison 12 !
de plus on passe de 13 épisode par saison a 10 ep par saison 🙁 plus d épisode spécial ?
Personnellement, je trouve que Doctor Who s’est dégradé progressivement. Par exemple, il y a certains épisodes de la saison 9 qui furent très mauvais (une première selon moi pour eux d’avoir atteint un sueil si bas), mais enfin c’étaient des exceptions. La saison 10 en revanche a eu un schéma inverse : beaucoup d’épisodes médiocres pour quelques épisodes valides. J’avais vaguement espéré un sauvetage par la saison 11, or elle a assuré pour moi un déclin total de la série.
Scénario, dialogues, humour, musique, transport, dynamisme, ingéniosité, grandeur, tout a fui : il ne reste de Doctor Who que la volonté de faire passer des messages modernes. Mais des publicités auraient suffi à cette propagande écœurante.
Merlyn 05/01/2019 à 13:29 Signaler
Une critique qui montre bien que vous n’étiez pas prêt à ce que cette saison vous rappelle que la société a progressé. Une femme dans le rôle principal et de la diversité dans le cast, c’est ce qu’il faut à notre société et la critique que vous faites de cette saison montre bien que c’est nécessaire
Des femmes dans un role principal ou uncela existe depuis longtemps moi jai 40 ans et deja dans les anées 70/80/90 j’ai vues des films series etc avec des femmes premier role etc.
Faut arete de regarder la propagande média et gouvernement qui vous bassines avec les femmes et le progrès cela ne vous ont pas attendues pour.
Et en plus plus vous ne comprenez même pas l’article qui parle pas des femmes mais du scénario qui est moyen et pas de l’actrice même si moi je ne l’aime pas je la trouve bof je ne retrouve pas le docteur.
La diversité cela devient aussi chiant a vouloir en foutre partout la ou il y en a pas besoin ca aussi ca existe déjà dans les films des années 70/80/90 ;
On dirait une enfant de 18 ans qui sort de l’école avec le mot féministe diversité puis le blanc c’est mal déjà le vrai progrès et en stand by pour l’instant pour dire ca régresse suffit de voir la fin des années 80 pour s’en rendre compteet le féministe a reculé de 20 ans voir plus avec ces femmes 2.0 qui se victimises plus que autre chose.
Cette saison était certainement du « service commandé » : Promotion de toutes ces luttes catégorielles/communautaires qui font flores dans les médias pour détourner l’attention des vrais problèmes rencontrés par la majorité des gens. Manipulations et modifications de la réalité, de l’histoire… de la vérité…
Doctor, la série ultime en matière de science fiction et de voyage dans le temps, c’est aussi la série ultime qui change de docteurs toute les 2 ou 3 saisons. Et moi ‘jai décider d’arreté de regardé après la saison 7. Le nouvelle acteur qui incarne le docteur dans la saison 8 Peter Capaldi, n’étais pas a la hauteur de mes espérance. En soit, a partir delas, la série n’avais plus rien avoir avec ce qu’elle étais au début. Les acteurs joue un role capital dans les séries, et si on n’aime pas un acteur, bah c’est dur de kiffé l »histoire. En plus de sa le prmeier docteur jouer par une femme, je n’ai rien contre les femmes, mais depuis le début c’étais des hommes, et comme c’est toujours le meme docteur sauf qui change d’apparance, le voir dans un corps de femme sa fais bizarre. Bon je l’avoue j’ai arreté après la saison 7, donc je peut pas dire ce qui s’est passé par la suite.
Moi qui est fan et possède les dvd de la série que j’ai acheté pour soutenir cette merveilleuse série, j’achèterais pas celui de la S11 qui ferais tache avec les autres….
J’ai été très étonné que le docteur ai besoin d’un traducteur lorsqu’il rencontre le pape
S
on traducteur universel ne comprend pas l’italien?