Critique : institut benjamenta (ce qu'on appelle la vie humaine)
Il est étonnant de voir que les cinéastes d'animation, maîtres du mouvement et de leur décomposition image par image, lorsqu'ils passent au cinéma en prises
Il est étonnant de voir que les cinéastes d'animation, maîtres du mouvement et de leur décomposition image par image, lorsqu'ils passent au cinéma en prises
La Prisonnière espagnole est le film de tous les retournements et de tous les faux-semblants. Il est réalisé par l'un des plus éminents scénaristes hollywoodiens
Il en faut de la bravoure, pour s'en aller visionner Le Sang des templiers.
Si le premier Cars avait été accueilli par la critique avec un soupçon de méfiance, l'automobile n'ayant pas chez nous un statut aussi puissamment symbolique
Pourquoi tant de haine... de soi ? De Old boy à J'ai rencontré le diable, le thriller sud-coréen afait de la violence, sa nouvelle identité, son fonds de
Submarine fait partie de ces films dont on ressort à la fois avec une impression de déjà vu et une impression de découverte.
Pour une fois qu'on fait descendre la figure du psy de son piédestal, on ne va pas s'en plaindre. Jean-François (Mathieu Demy), jeune thérapeute bien installé
Même quand un film avec Jim Carrey est mauvais, en général on peut toujours sauver Jim Carrey du lot et il parvient à rendre le film agréable. Ici, même
Avant de commettre Jean-Philippe, Laurent Tuel était l'un des espoirs du cinéma français. Malgré ses défauts certains, son scénario abscons et touffu, et
La Viaccia c'est le nom d'une ferme familiale. Ferme qui appartient à une famille italienne dont le patriarche vient de décéder et dont les enfants se disputent
Quiet days in Clichy est d'abord un roman paru en 1956, en partie autobiographique sur la vie de Joey/Henry Miller lors de son séjour à Paris, le Paris de
Quelques années à peine après la récréation Arizona Junior (qui va de pair avec le très amusant Mort sur le grill de Sam Raimi), Miller's Crossing s'impose